Ménilmontant, mais oui madame...

Trois Gallé volés dans le 19e

Les voleurs étaient déguisés… en policier et en plombier

Le 16 décembre, un faux plombier s’est présenté pour déboucher une canalisation chez un homme de 87 ans, domicilié rue Pradier ; après son départ, un faux policier est venu demander à l’octogénaire de vérifier si « par hasard » il n'aurait pas été victime d'un voleur qui sévit dans ce secteur du 19e arrondissement (où se trouve un commissariat de quartier, l’Unité de Police de Quartier « Combat »). Il manquait, a indiqué la préfecture de police ce week-end, trois vases de l’un des maîtres de l’Art Nouveau en France, le céramiste Emile Gallé, dont la valeur globale n'a pas été précisée…

Mais l’amateur d’art ne s’en est aperçu qu’après le départ du faux policier. On ne sait donc pas, pour l’instant, qui -du « policier » ou du « plombier »- est parti avec les pièces, ni si elles ont été dérobées par la même personne. Territorialement compétente, la deuxième division de police judiciaire (2e DPJ) a été chargée de l'enquête.

En 2005, le sérieux groupement britannique d’assureurs Lloyd’s (site, en anglais, ici) avait indemnisé à hauteur de 630 000 € la Ville et le musée de l’Ecole de Nancy après le vol de quatre œuvres de Emile Gallé et la destruction de deux autres. Si, en moyenne, il y a trois fois plus de foyers fiscaux assujettis à l’Impôt de solidarité sur la fortune (ISF) à Paris qu’en France, les œuvres d’art ou de collection, et les antiquités n’entrent pas dans le calcul de l’assiette de cet impôt.

Kemi Seba en garde à vue

Kemi Seba, fondateur du groupuscule noir radical Tribu Ka, a été placé en garde à vue hier soir, à la suite de l’agression dont a été victime le vidéaste Ahmed Menguigui, qui n’aurait pas porté plainte ce matin, indique-t-on de bonnes sources.

De son véritable nom Stellio Capochichi, le fondateur de Tribu Ka était entendu ce matin encore par la police pour une agression commise par quatre personnes, à l’encontre de Ahmed Menguigui, auteur de Kemi Seba, la Vérité, hier soir, dans le nord de Paris. Le vidéaste aurait reçu des coups au visage, à une jambe et à un bras, mais il se trouve hors de danger.

Kemi Seba a été condamné début novembre en appel à un an de prison avec sursis et dix-huit mois de mise à l'épreuve pour avoir reconstitué sous un autre nom (Mouvement des damnés de l’impérialisme, MDA) son groupuscule Tribu Ka, dissous en 2006, comme l’avait montré le 30 novembre un reportage diffusé dans le cadre de l’émission Dimanche + (sur Canal +, le dimanche à l’heure du déjeuner, en clair, record d’audience ce jour-là avec Noël Mamère et Benoît Hamon) ; il avait fait appel de cette condamnation à deux mois de prison ferme. Le tribunal correctionnel de Paris l’avait condamné en octobre à quatre mois de prison avec sursis pour diffamation (avec diverses circonstances aggravantes).

La Tribu Ka, accusée d'antisémitisme, avait été dissoute par un décret paru le 29 juillet 2006 au Journal officiel, sur proposition du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, faisant référence à la loi sur les groupes de combat et les milices privées de 1936, dite « Loi Laval ».

Maintenant, chez Kemi Seba, « sa » génération et ses improbables « amis » comme ces barbus antisionistes juifs (sur Canal +, on a pu voir Alain Soral ou Dieudonné et entrevoir Marine Le Pen), on ne s’en prend plus aux juifs, mais aux sionistes. Question de sémantique.

F. A.

⇒ Trente membres, une soixantaine de sympathisants... (Nouvel observateur, 8 juin 2006)

Deux gamins de treize ans en garde à vue

On leur reproche plus de 200 appels malveillants

La police ne rit pas avec les numéros d’urgence. Après le lancement de la campagne de communication sur les numéros d’urgence, elle a placé en début de semaine en garde à vue deux mineurs de treize ans des 10e et 19e arrondissements, soupçonnés d'avoir passé quelque deux cents appels téléphoniques en deux semaines… Ils seront convoqués ultérieurement devant la justice pour être mis en examen.

Le 24 novembre, une enquête était ouverte à la suite d’appels au 17 (police secours), signalant divers faits de toutes sortes, qui s’avéraient être sans objet. Les enquêteurs avaient découvert que les coups de fil émanaient de deux téléphones portables. Sur réquisition judiciaire, ils ont obtenu les coordonnées… d’un mineur de 13 ans du 10e arrondissement, qui a été placé en garde à vue. Ce qui a permis de faire « tomber » son copain (présenté par la police comme son complice), domicilié, lui, dans le 19e, mais qui, une fois en garde à vue, a nié les faits.

Confiée à la sous-direction de la police territoriale parisienne, l’enquête a également montré que les auteurs présumés auraient passé, parmi leurs 200 appels, non seulement des coups de fil à la police, mais aussi aux pompiers, au Samu et au service d'assistance aux sans abri…

Perquisition chez Julien Dray après des retraits suspects à la FIDL et aux Parrains de SOS-Racisme

Une perquisition est en cours, vendredi 19 décembre, au domicile du député socialiste de l'Essonne Julien Dray, dans le cadre d'une enquête préliminaire ordonnée, le 10 décembre, par le parquet de Paris pour des faits présumés d'abus de confiance.

Les policiers de la brigade financière ont été saisis après un signalement de l'organisme anti-blanchiment  Tracfin, qui dépend du ministère des finances. Les enquêteurs ont constaté des mouvements de fonds suspects depuis janvier 2006 sur les comptes de deux associations, les Parrains de SOS-Racisme et la Fédération indépendante démocratique et lycéenne (FIDL),  mais aussi sur ceux de Nathalie Fortis, attachée de presse à SOS-Racisme, et de Thomas Persuy, directeur administratif et financier de cette même association, tous deux mandataires sur le compte ouvert au Crédit coopératif par la FIDL.

M. Persuy et Mme Fortis, selon les premiers éléments de l'enquête, auraient encaissé des chèques, pour un montant de plus de 120 000 euros, tirés exclusivement sur les comptes des associations. Quelques jours après avoir perçu ces sommes, ils auraient émis des chèques en faveur du député Julien Dray, pour plus de 102 000 euros. Par ailleurs, des sommes en liquide auraient également été retirées des comptes des associations.

Enfin, les policiers s'intéressent également à des chèques émis par des particuliers, actifs dans les sphères socio-économiques, au bénéfice de M. Dray et de Mme Fortis. L'un d'entre eux a obtenu un marché public en Ile-de-France, région dont le député de l'Essonne est vice-président. Les enquêteurs s'interrogent sur l'existence éventuelle de contreparties.

Gérard Davet, pour lemonde.fr, photo Assemblée nationale

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Mise à jour de 11h15
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⇒ Plusieurs perquisitions : les flux suspects se montent à 351 027 €

Saisie de pièces archéologiques du Mexique

Une trentaine de pièces archéologiques mexicaines, qui devaient être vendues aux enchères à Drouot hier, ont été saisies lundi à la demande du gouvernement mexicain, annonce l'ambassade du Mexique en France dans ce communiqué.

Les 31 pièces saisies à titre provisoire devaient être vendues hier après-midi par les maisons Binoche et Renaud Giquello et faisaient partie de ce catalogue.

Les policiers de l'Office central de lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC) ont saisi les pièces archéologiques à titre conservatoire, en attendant les résultats d'une enquête sur leur provenance. La vente était organisée par un expert en la matière, Jacques Blazy, du tout nouveau cabinet « Mezcala expertises », qui avait réalisé en septembre dernier cette vente, au cours de laquelle 93 objets précolombiens de même type avaient été saisis (le vendredi 13, toujours à Drouot), juste avant leur vente par les maisons Binoche et Pierre Bergé et Associés.

En octobre 2006 déjà, à l’occasion de l’exposition bruxelloise de la dation Janssen, M. Blazy indiquait au Monde : « la pression des ambassades nous rend encore plus prudents », alors que le Mexique et la Colombie, notamment, scrutaient à la loupe les pièces de la collection. Et en revendiquaient certaines.

F. A.

François Devedjian circulait sans permis

Il est désormais privé de voiture

François Devedjian, avocat dans un grand cabinet ayant sa filiale française avenue Hoche (environ 500 collaborateurs en Europe), n’a plus de voiture depuis le 7 décembre, indique Le Parisien, qui précise qu’il s’est fait immobiliser son 4x4 Place de la Concorde « après s'être s'engagé sur une voie à gauche alors qu'il ne le pouvait pas ». Le fils de Patrick Devedjian, qui avait été nommé deux jours plus tôt au gouvernement tout en restant président du Conseil général des Hauts-de-Seine, conduisait par surcroît sans permis.

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L'avocat (associé depuis le début de l'année au cabinet qui compte 76 collaborateurs en France) était conscient du fait qu'il n'avait pas de permis de conduire du fait de « petits excès de vitesse »
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« Je savais que je n'avais plus de points sur mon permis, explique le fils du ministre. J'ai déposé, il y a environ six mois, un recours devant le tribunal administratif de Paris pour pouvoir récupérer une partie de mes points. Je les ai perdus après des petits excès de vitesse mais pas pour des questions d'alcoolémie.

Objectivement, je savais que mon recours n'était pas suspensif et que je ne pouvais plus prendre ma voiture. Je savais que je prenais un petit risque à continuer à rouler dans ces conditions. Maintenant, je ne conduis plus du tout… », a-t-il expliqué le 10 décembre à Stéphane Sellami, du Parisien.

Pour un avocat (et fils d’avocat, par surcroît fils de ministre depuis deux jours), cela fait un peu désordre. C’était également à la hauteur de la Place de la Concorde que, en octobre 2005, M. M’hamed Bellouti, frère d’un militant UMP, s’était fait emboutir sa voiture par un scooter ; il avait donné à la police et à son assureur comme numéro d’immatriculation celui de Jean Sarkozy, alors fils du ministre de l’Intérieur, qui depuis a été relaxé, après près de trois ans de procédure.

L’avocat Sylvain Meier remis en liberté

Incarcéré en novembre suite à une tentative de détournement de 4 M€, Me Sylvain Meier, ancien avocat du président ivoirien Laurent Gbagbo, par ailleurs autrefois impliqué dans des affaires de « corruption » et de « trafic d’influence » à Paris sous l’ère Chirac, a fait hier l’objet d’une ordonnance de remise en liberté de la part de la chambre d’instruction près la Cour d’appel de Versailles.

Agé de cinquante-six ans, l’avocat parisien est soupçonné d'avoir tenté de détourner quatre millions d'euros de la société Hörmann France (fabricant de portes industrielles basé à Pontoise, dans le Val-d’Oise), pour les transférer en Suisse sur une quinzaine de comptes bancaires de particuliers et d’entreprises. Le P-Dg de Hörmann France avait porté plainte, après avoir découvert, début 2008, un « trou inexpliqué » dans sa trésorerie.

Il avait fallu attendre juillet pour que le parquet de Pontoise ouvre une information judiciaire et confie l'enquête à la police judiciaire de Versailles.

Cinq pains d’explosif au Printemps

Cinq pains d'explosif ont été désamorcés ce matin dans le magasin Printemps-Haussmann à Paris (9e arrondissement), a-t-on appris de source policière.

On ignorait la nature exacte de l'explosif qui a été désamorcé entre le premier et le second étage, selon la même source.

Une revendication, signée d'un mystérieux Front révolutionnaire afghan, était parvenue plus tôt dans la matinée à l'Agence France-Presse par courrier, signalant que « plusieurs bombes » avaient été déposées « dans le magasin printemps homme Haussmann ».

Un périmètre de sécurité a été mis en place par la police autour du magasin qui a été évacué, a-t-on précisé de même source.

Source : LeFigaro.fr

⇒ « De ce que nous savons, ce n'était pas un dispositif qui était destiné à exploser. Nous allons mener l'enquête pour remonter aux auteurs », a déclaré Michèle Alliot-Marie qui se trouvait à Draveil (Essonne), où elle rendait visite à des « citoyens volontaires » de la police nationale, à l'Ecole Nationale de police de Draveil, avant de se rendre vers Paris. Il n’y avait pas, selon les premiers éléments, de détonateur relié aux explosifs trouvés au troisième étage.

⇒ « Si vous ne faites pas intervenir quelqu'un avant mercredi 17 décembre » (…) « elles exploseront », indique pour sa part la lettre parvenue à l’AFP.

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Mise à jour de 13h30
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⇒ La dépêche de l’AFP fait état d’une vidéo revendiquant l’embuscade du 18 août dans laquelle dix soldats français ont trouvé la mort et indique que les menaces étaient connues depuis novembre. Pas de risque d’explosion, pour Mme Alliot-Marie, vigilance et fermeté pour Sarkozy.

Une urne funéraire volée à Belleville

Une récompense de 1 000 € est proposée par le veuf

Mardi soir, le docteur David Carrizales, un médecin péruvien spécialisé en médecine tropicale, aujourd’hui âgé de 76 ans, a été agressé à la station de métro Belleville, indique Le Parisien dans son édition locale. Dans la sacoche qui lui a été volée se trouvait… l’urne funéraire de son épouse, décédée en 2001, dont il ne se sépare jamais.

Un vol en apparence banal enregistré par la police du commissariat central du 20e arrondissement : celui d’une sacoche en cuir, suite l’agression d’un touriste âgé au métro Belleville. Mais si le sac contenait des papiers, des documents administratifs ou un peu d’argent, il y avait surtout dedans une petite urne funéraire renfermant les cendres l’épouse du docteur Carrizales ! Afin de récupérer l’urne funéraire de sa femme, le médecin péruvien, effondré, propose une récompense de 1 000 € à celui qui la rapportera.

« Depuis la mort de sa femme, en 2001, il ne s’en sépare jamais », a expliqué au Parisien Michel Perrin, un ami français de David Carrizales. « Mardi soir, l’urne était évidemment dans son sac quand il a regagné son hôtel en métro. Il a été très affecté par la disparition de cet objet. »

Hier, il n’y avait rien au service des objets trouvés de la préfecture de police (36, rue des Morillons, métro : Convention, bus : 62, 89, 95, PC1). Les cendres de l’épouse du médecin sont pour l’instant introuvables.
M. Carrizales compte distribuer des tracts aux abords du métro Belleville, lieu du vol, espérant que le voleur s’en sera débarrassée et qu’une bonne âme l’aura récupérée. L’urne funéraire est un petit coffret sans aucun intérêt financier, mais uniquement sentimental. Le docteur Carrizales et son ami français peuvent aussi espérer que le voleur ne s’en est pas encore débarrassée et qu’il va la rendre.

Une récompense de 1 000 € est prévue pour toute personne qui rapporterait le fameux coffret à la rue des Morillons (dans le 15e arrondissement). Le docteur péruvien doit quitter Paris demain dimanche, mais son ami français, Michel Perrin, reste disponible (lorsqu’il est chez lui, sinon il y a un répondeur) au 01 46 87 40 75.

F. A., photo F. L.

Carla Bruni porte plainte contre Pardon

Il fallait s’y attendre. L’initiative prise début décembre par Pardon de distribuer un sac avec en impression notre first lady nue n’a pas du tout plu à l’intéressée.

Hier, constatant sans doute le relais accordé par la presse et les médias nationaux à ce coup marketing, elle a décidé de porter plainte contre la marque de fringues dionysienne pour atteinte à son image.

A La Réunion et en Métropole

Pour appuyer sa démarche, elle aurait reçu le soutien du propriétaire de ce fameux cliché pris il y a une quinzaine d’années mais acheté aux enchères en début d’année pour près de 100 000 euros. Lui aussi n’aurait pas été contacté par le créateur réunionnais lorsqu’il a conçu ce sac provoc offert à l’occasion des fêtes de fin d’année aux clientes des magasins réunionnais mais aussi métropolitains. L’affaire sera examinée dès lundi après-midi 14 heures au tribunal de Saint-Denis selon la procédure de référé avec astreinte heure par heure. L’audience, qui survient quelques semaines après le dossier de la « poupée vaudou », promet d’être suivie.

Les intérêts de Carla Bruni seront confiés à Maîtres Herzog et Akhoun. L’avocat parisien est le défenseur habituel du couple présidentiel dans toutes les polémiques concernant la vie privée. Son confrère du barreau de Saint-Denis a été ces derniers mois le conseil de Valérie Bègue dans ses différents démêlés qui ont marqué son élection. Il connaît donc parfaitement les habitudes de la marque Pardon et de son patron Peter Mertes. Lequel, actuellement en déplacement au Gabon, n’a pas réagi hier soir à cette plainte pas plus qu’il n’avait souhaité répondre à nos questions la veille lorsque nous évoquions la polémique née de la distribution de ce sac depuis maintenant une dizaine de jours dans l’île et bientôt dans l’hexagone [où la marque possède quatre points de vente officiels, note du ouaibemaître]. Pour Maître Akhoun, Il ne s’agit ni plus ni moins que d’une nouvelle atteinte à la vie privée et au droit à l’image.

Pour lui, cette affaire est sur le fond quasi similaire avec celle qui, en février dernier, avait vu Sarkozy attaquer en justice Ryanair. Cette compagnie aérienne low cost avait utilisé l’image de la famille Sarkozy dans une campagne publicitaire.

Christophe Tézie, pour le Journal de l’Ile de la Réunion

⇒ La version de l’AFP

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Mise au point de 18h00, via une dépêche de 04h00 (heure de Paris)
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« L'avocat de Carla Bruni-Sarkozy va demander l'interdiction de la vente du sac et 125 000 euros de dommages et intérêts à titre de préjudice moral et matrimonial qui seront versés à une oeuvre caritative.
Le patron de Pardon, Peter Mertes, a déclaré à l'AFP que les sacs avaient été fabriqués à 10 000 exemplaires. Il a justifié l'utilisation de la photo par le fait que Carla Bruni-Sarkozy est "une femme publique".
Sur le sac, l'image sérigraphie est assortie d'une bulle qui fait dire à l'épouse du président : "Mon mec aurait dû m'acheter du Pardon". Après avoir été vendu 3 euros, le sac est désormais offert pour tout achat de 5 euros », indique cette dépêche de l’agence locale Imaz Press.