Ménilmontant, mais oui madame...

Un enterrement de première classe

Un documentaire inédit explique le passage à la Ve République

Du 13 mai 1958, date de l'insurrection d'Alger, au premier voyage sur place du général De Gaulle, en juin, retour sur le passage de la IVe à la Ve République.

Comment la France est-elle passée de la IVe à la Ve République ? A partir du 13 mai 1958, une série d'événements secoue la France et la République. Une partie de l'armée et les partisans de l'Algérie française exigent un changement radical d'orientation politique à Paris et réclament le retour du général De Gaulle. Ce dernier soumet aussitôt une nouvelle constitution au suffrage des citoyens. Des archives de cinéma, de télévision et de radio, dont certaines inédites, permettent de dévoiler les enjeux secrets de ces mois tumultueux, depuis le 13 mai - l'insurrection d'Alger - jusqu'au début du mois de juin 1958 - le premier voyage du général De Gaulle en Algérie.

LE DERNIER BAL DE LA QUATRIÈME
Documentaire historique, inédit, France 3
23h25 – durée : 80 min.
Réalisation : Jean-Paul Fargier (France)

La vie quotidienne sous l’Occupation

Dans les années quarante, en France, un couple de fonctionnaires abrite bien malgré lui les activités illégales d'une trop généreuse visiteuse de prison. L’occasion de retrouver entre autres Yolande Moreau (de chez Agnès Varda, puis de la troupe de Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff), Luis Rego (des Charlots et du Tribunal des Flagrants délires), ou Natacha Lindinger (l’une des Hélène de Nestor Burma à la télé). Le réalisateur, Denis Malleval, avait été récompensé en 2007 au Festival de la Fiction TV de La Rochelle pour « Le Lien », une œuvre retraçant les conséquences d'un épisode tragique de la Shoah. Adapté du roman éponyme de Jean-Jacques Brochier, « Villa Marguerite » évite, par bonheur, tout manichéisme.

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Rien que pour ne pas manquer le tandem Yolande Moreau-Luis Rego, une raison de regarder ce téléfilm inédit de France 3
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Dans les années quarante, près de Moulins, Etienne et Adèle Grandclément, un couple de petits fonctionnaires, sont sur le point de réaliser leur rêve en faisant l'acquisition de la « Villa Marguerite ».

Dans ce modeste pavillon, ils espèrent pouvoir mener l'existence paisible à laquelle ils aspirent et s'adonner à leur véritable passion : la bonne chère. Mais peu après, les Grandclément sont dénoncés pour avoir mangé une oie le 11 novembre. Incarcérés, ils rencontrent bientôt Marie Muller, une généreuse visiteuse de prison, qui les tire de ce mauvais pas. Elle fait bientôt livrer clandestinement toutes sortes de victuailles chez les Grandclément. Ceux-ci découvrent que Marie se livre en réalité à un trafic d'or et de dollars…

Pour lire la critique de Télérama, cliquer ici.

VILLA MARGUERITE
Téléfilm dramatique inédit, France 3, 20h55
Origine : France (2008) Stéréo.
Scénario : Jacques Santamaria.
Musique : Jean Musy. Réalisation : Denis Malleval.
Distribution : Yolande Moreau (Adèle Grandclément), Luis Rego (Etienne Grandclément), Natacha Lindinger (Marie Muller), Gérard Chaillou (monsieur Bouchalois).

Terminus Auschwitz

Les chemins de fer européens et la Shoah

Ce soir, dans un documentaire en deux parties présenté dans le cadre des Mercredis de l’Histoire, Arte pose la problématique du rôle des chemins de fer dans l’histoire de la Shoah. Les Français se souviennent de l’affaire qui a opposé la famille du député européen Alain Lipietz à la SNCF depuis 2001 (dont il semble être question dans la seconde partie, selon la critique de Télérama). Mais, dans d’autres pays que la France, le rail servait également au transport vers les camps de la mort…

Pour la première partie, cliquer ici (24 septembre à 21h00,rediffusion le 30 septembre à 09H55 sur la TNT, le câble et le satellite).
Pour le second volet, c’est là (24 septembre à 21h50, rediffusion le 30 septembre à 10H50 sur la TNT, le câble et le satellite).

Pour celles et ceux qui ne sont pas disponibles aux bons horaires ou qui n’ont pas de télévision, les documentaires seront disponibles durant une semaine, à compter de jeudi, sur ARTE + 7.

⇒ La SNCF et les années noires
⇒ Livres et films sur le sujet

Fin de partie pour Florence Schaal

Hier soir, RTL a révélé que Florence Schaal avait finalement été licenciée de TF1 « après vingt-trois ans de maison ». A 58 ans, la journaliste, salariée de TF1 depuis 1982 et qui avait le titre de rédactrice en chef se disait « stupéfaite et blessée par la dureté de cette sanction. Il est évident que je sers de bouc-émissaire, seule explication logique au caractère disproportionné de cette sanction. Elle m'est d'autant plus incompréhensible que j'ai servi TF1 pendant plus de trente années avec une fidélité et une loyauté absolues », a-t-elle déclaré à l'AFP (elle a commencé à servir la Une en 1975).

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Florence Schaal avait annoncé de façon erronée dans le journal de 20 heures du 8 août le décès d'un jeune garçon disparu, Louis, dans le département de la Drôme.
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Juste après l'annonce erronée de la mort du petit Louis, la chaîne avait diffusé un déroulant lors de l'émission Koh-Lanta pour rectifier son erreur et annoncé que l'enfant avait été retrouvé vivant. Le lendemain, le présentateur du 13h00 avait présenté les excuses de la chaîne aux parents et aux téléspectateurs.

Début septembre, le groupe TF1 avait été mis en demeure de respecter ses obligations en matière d'information par le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA). Le PDG de la chaîne, Nonce Paolini, et le directeur de l'information du groupe, Jean-Claude Dassier, avaient été auditionnés par le CSA.

Florence Schaal avait fait l'objet, selon TF1, de « la procédure habituelle en cas de faute commise » et été reçue début septembre par la direction des ressources humaines « pour un entretien préalable en vue d'une éventuelle sanction ».

La chaîne s'est toujours défendue de tout « dysfonctionnement au sein de la rédaction parisienne » dans cette affaire…

Dès la mi-août, Le Canard enchaîné avait annoncé son licenciement et deux thèses s’étaient mises en place, l’une impliquant la hiérarchie (donc TF1), l’autre pas. Nous n'étions qu'une semaine après la diffusion de l'information erronée.

Audiences du JT de TF1 : l'agacement de PPDA

« Je ne tolère pas le mensonge ! » On l'attendait depuis des semaines, la réaction de Patrick Poivre d'Arvor aux audiences de Laurence Ferrari sur TF1. Elle est venue ce midi sur France 5, dans « Médias, le magazine »(*)... de Thomas Hugues, l'ancien compagnon de la présentatrice.

Venu avec son propre bilan chiffré, qu'il a brandi sur le plateau, PPDA a vu rouge quand son ancien joker lui a demandé de regarder non pas les scores de septembre 2007, comparant les JT date à date, mais ceux de juin dernier, tenant compte de la montée en puissance de la TNT.

Et où, cette fois, la supériorité du journaliste-écrivain ne prévaut plus... « Vous comparez les pommes et les prunes ! Faites les choses honnêtement ! Je ne tolère pas le mensonge, je vois bien qu'on essaie de salir... » Toujours convaincu d'avoir été écarté pour impertinence, Patrick Poivre d'Arvor a laissé entendre que le choix de Laurence Ferrari - dont il dément avoir critiqué le niveau de diplômes - visait à « faire plaisir au Président » : « Oui, je le pense. C'est dommage, mais ce n'est pas grave. C'est derrière moi. »

Charlotte Moreau, pour LeParisien.fr

(*) Rediffusion le 21 septembre à 16h45 et visionnage possible en cliquant ici pendant une semaine.

⇒ Note du ouaibemaître : Selon cette archive du Monde daté du 01/06/2007, TF1 et Canal + résistaient mieux que les autres chaînes à la progression de la TNT.

Carla Bruni sur Canal +

Fixée à la base pour le début du mois, la date du Grand Journal où Michel Denisot se fera remplacer (en clair à 19h10) sur Canal + par Carla Bruni-Sarkozy a été repoussée à ce soir, a annoncé hier Michel Denisot à l’issue de la présentation de son émission, où il recevait Philippe Val.

Avant-hier sur la BBC dans l’émission de Jill Hollands (où elle a entre autres interprété « Ma Came » en direct), elle fera ce soir son talk-show. L'occasion, une fois de plus, de faire parler de son disque sorti le 11 juillet. Rien ne dit toutefois que l'audience sera aussi bonne que pour un Besancenot ou un Villepin.

Toujours sur Canal +, mais cette fois pour les abonnés, http://www.emmadecaunes.com/ Emma de Caunes recevra Carla Bruni pour la première « Musicale » de la saison, invitée principale de l'émission, le 22 septembre à 20h50.

Il s'agira du second passage de la chanteuse dans l'émission, puisqu'elle avait participé à la "Spéciale Gainsbourg" fin 2006, avec une reprise acoustique en anglais de "Ces petits riens".

Christophe, Camille, Thomas Dutronc, Alister et Herman Dune sont les autres invités de cette Musicale. Tous joueront en live intégral, indique la chaîne dans sa bande-annonce, avant de répondre aux questions d’Emma de Caunes, aux commandes de la 15e émission, pour la 5e année consécutive. Là, la tournée des télés de la « Première dame de France » devrait être finie. En France, du moins.

F. A.

⇒ Pendant ce temps, Jean Sarkozy s’attaque à la presse people ; tout comme Carla Bruni et Raphaël Einthoven.

Une Ferrari en perte de vitesse

Après trois semaines aux commandes de la grand-messe du 20 heures sur TF1, Laurence Ferrari voit l’audience s’effriter. La bataille des JT est ouverte.

Son sourire papier glacé et sa blondeur belle des champs aurait dû convaincre. A peine passé l’effet curiosité d’un certain 25 août, jour J de son arrivée avec 8,3 millions de téléspectateurs et 40,2 % de part d’audience, voilà que l’audience de Laurence Ferrari s’essouffle. Là où TF1 se pose en leader incontesté, des signes inquiétants apparaissent. Des experts des agences de publicité de l’Agence Carat TV et du Groupe Publicis ont accepté de livrer leurs observations. « Le JT est un véritable rendez-vous pour les gens », explique Sarah Fauvin, directrice études AEIS Média Expert, « Au fil des retransmissions, les audiences ont diminué. Jeudi 11 septembre, la part d’audience de TF1 descendait à 32,9 % et la chute continuait lundi 15, à 32,7 %. Le phénomène de curiosité s’est érodé. » Le départ précipité - et forcé - de Patrick Poivre d’Arvor a finalement troublé l’audience et d’une manière significative. TFI paiera-t-elle ce changement d’orientation éditorial ?

« Les gens ont perdu leurs habitudes de consommation. Pour l’instant c’est un peu tôt pour se prononcer, poursuit la publicitaire, pour dire s’il y a un réel impact. »

Qu’en est-il de l' incidence économique provoquée par une chute d’audience dans ce secteur déterminant ? « L’impact est imparable si cette baisse se confirme. »

Mais le tableau de la rentré n’est pas tout à fait noir. Puisque la cible de la jeunesse rejoindrait ce rendez-vous. Contre toute attente. « On note un léger rajeunissement. Sur la tranche d’âge 15-24 ans, depuis que Laurence Ferrari présente le JT. Une hausse de 6,5 % se fait sentir alors que sur la même période, celui de PPDA connaissait une augmentation de 5,4 %. » Sur France 2, on joue la carte de la stabilité. Et David Pujadas sortirait-il gagnant ? Il s’inscrit dans la continuité de ses audiences. Canal + peut se frotter les mains, car en non cryptée celle-ci récupère une part de l’audience. Les vrais gagnants sont d’une part France 2 qui récupèrent les plus âgés, d’autre part, France 3 et la TNT les plus jeunes.

Philippe Nouchi, directeur des études audiovisuelles chez Zénith Optima, confirme qu’il existe une baisse significative qui touche toutes les cibles. « La part d’audience est meilleure chez les 30-40 ans. Elle rajeunit le journal. » C’est bien l’idée exprimée par le nouveau directeur de l’information sur TF1, Jean-Claude Dassier qui confirme le choix de la jolie égérie : « Avec Mme Ferrari, le JT est plus jeune, plus dynamique, plus ménagère ».

Marie-Eve Wilson-Jamin, Catherine Delmas, pour France-Soir

⇒ Claire Chazal vire son soutif

⇒ PPDA toujours au JT de TF1

Deux députés UMP sur les écrans

Alors que le député des Hauts-de-Seine et porte-parole de l’UMP est ce soir au menu des invités de « On n’est pas couché » (France 2), le président du groupe UMP à l’Assemblée nationale, est l’invité de Thierry Ardisson pour « Salut les Terriens » (Canal +, en clair).

Les enregistrements des émissions ont déjà eu lieu.

Pour Jean-François Copé, il est notamment question de revenir sur la suppression de la publicité sur le service public. On parle en haut lieu de la suppression totale en 2011 et non plus en 2012.
Le président de la Commission, qui avait vu partir ses élus de gauche (dont le sénateur Assouline, élu du 20e arrondissement), et dont cette proposition avait été rejetée (en l'état) par le président Sarkozy, s'est prêté, lors de l’enregistrement, au jeu « service public ». Thierry Ardisson a énuméré les programmes du groupe France Télévisions afin de savoir s’ils étaient « service public ou pas ».

On se souvient de certaines critiques élyséennes visant des animateurs et, cette semaine, une productrice de télévision, fille d’une grande journaliste… Cette dernière critique ayant été depuis démentie par Franck Louvrier. Laurent Baffie et Sylvain Augier sont aussi annoncés par la chaîne.

Jean-François Copé avait déjà été l’invité de Thierry Ardisson voici tout juste un an. Soit quatre mois avant que le président Sarkozy n'annonce la suppression de la publicité sur le service public, sans en aviser qui que ce soit, et provoquant immédiatement une hausse des actions de TF1 (Groupe Bouygues, cours de l'action TF1 ICI) et Métropole Télévisions (Groupe M6, cours de l'action M6 LA).

⇒ Salut les terriens
Canal +, en clair, 19h20 (durée : 65 min.)

⇒ On n’est pas couché
France 2, 23h15 (durée annoncée : 3h05)

Photo de Jean-François Copé : Assemblée nationale

France 3 évoque la Rue d’Isly ce soir

Cinq mois après Paris, Bab El-Oued…

Dans un documentaire inédit, diffusé ce soir à 23h25, France 3 se penche sur une page de la Guerre d’Algérie : la fusillade de la rue d’Isly. Sous le titre « Le massacre de la rue d'Isly », la chaîne des régions se penche sur ce que d'aucuns considèrent comme le pendant du massacre parisien du 17 octobre 1961 (alors que Maurice Papon était préfet de police)… Là aussi, un pan de l’histoire jamais officiellement élucidé.

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Cinq mois après les « français musulmans » que l’on retrouvait « noyés dans la Seine », Bab El-Oued connaissait un autre drame, provoqué par des nostalgiques de l’Algérie française.
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Comme l’explique ici Le Figaro de l’époque, des commandos de l’OAS avaient tiré sur des soldats du contingent. Et c’est à… Saint-Nicolas du Chardonnet que se trouve une plaque commémorative.

Comme rappelé ici, en mars dernier, d’anciens activistes de l’OAS et des proches de victimes de l’OAS, soutenus par des militants anticolonialistes, s’étaient affrontés en plein Paris, sans que la presse française ne s’en fasse l’écho.

Résumé :

Le 26 mars 1962, une semaine seulement après la signature des accords d'Evian, des centaines de citoyens français tombent en quelques minutes sous les balles de soldats français rue d'Isly à Alger, à la suite d'une manifestation. Fait traumatisant de la guerre d'Algérie, ce massacre marque le début de l'exode massif des Pieds-Noirs et le déclin inéluctable de l'OAS. A l'époque, les faits provoquent une émotion immédiate, tant en Algérie qu'en France: l'armée est stigmatisée, la population européenne est traumatisée. Pourtant, il semblerait qu'aucune commission d'enquête officielle n'ait jamais été créée pour éclaircir les faits et les responsabilités dans ce drame. Ce film tente de tirer ces événements de l'oubli.

⇒ La critique du bureau parisien de El Watan sur le blogue de raanemari

Le massacre de la rue d’Isly
Documentaire-histoire-2008-inédit
Réalisation : Christophe Weber
23h25, durée : 54 min.
Rediffusions annoncées :
Nuit du dimanche 14 au lundi 15 septembre : 03h00 (France 3)
Nuit du vendredi 19 au samedi 20 septembre : 02h15 (France 3)

Edvige et Corinne Lepage s’invitent sur France 2

Corinne Lepage, présidente du parti écologiste Cap 21 et vice-présidente du MoDem, a demandé aujourd’hui l'organisation d'« un référendum d'initiative populaire » sur le décret instaurant le fichier Edvige, en application de la réforme de la Constitution votée le 21 juillet. Elle fait partie des invités, ce soir, de Mots croisés, sur France 2.

Où sont passés les politiques ? se demandait-elle fin août sur son site. Samedi, le ministre de la Défense est monté au créneau. Pour se faire railler dimanche par la ministre de l’Intérieur et rappeler à l’ordre lundi par le Premier ministre.

« L'heure est venue pour la classe politique de prendre ses responsabilités et de déclencher une procédure de référendum d'initiative populaire pour faire annuler le décret Edvige », a déclaré ce lundi Mme Lepage dans un communiqué.

Ce soir, France 2 a programmé un Mots Croisés avec au menu « Edvige : tous fichés ? » avec, pour invités, Corinne Lepage, avocate, vice-présidente du MoDem, présidente du parti Cap 21, Gérard Gachet, porte-parole du ministère de l’Intérieur, Jacques-Alain Benisti, député-maire UMP de Villiers-sur-Marne, vice-président de la Commission des lois, Jean-Pierre Dubois, président de la Ligue des Droits de l’Homme, Thierry Rousselin, pour « Sous surveillance : démêler le mythe de la réalité » (Les carnets de l’info).
Un autre débat sur le thème « Le retour de la guerre froide ? » doit réunir Dominique de Villepin, ancien Premier ministre, Laurent Fabius, député de Seine-Maritime, Artem Studennikov, premier conseiller de l’Ambassade de Russie en France, Jean Radvanyi, directeur du centre Franco-Russe en sciences humaines et sociales de Moscou, pour «La Nouvelle Russie» (Armand Colin); Laure Mandeville, grand reporter au «Figaro», pour «La Reconquête Russe» (Grasset).

Mots Croisés
Magazine-débats
France 2 - 23h15 (110 min.)
Présentation : Yves Calvi