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18/10/2008

Commentaires

tu n'as que ça a te mettre sous la dent, mon pauvre..........
il y a quelques années tu aurais été considéré comme un traitre.........
un petit délateur de bas étage, avec son petit os a croquer pour exister...........

Dans ce cas, il faut en dire au moins autant à l’Express :

http://www.lexpress.fr/actualite/depeches/infojour/reuters.asp?id=80522

pour avoir relayé une dépêche de Reuters,

à Aujourd’hui Le Japon :

http://www.aujourdhuilejapon.com/informations-japon-compte-presume-de-chirac-au-japon-avis-favorable-a-la-declassification-de-documents-5576.asp?1=1

qui a fait un résumé d’une dépêche AFP :

http://afp.google.com/article/ALeqM5jSyLOb4a-Jr6cuBDPNhm6K5Ga6yQ

ou à Come4News :

http://www.come4news.com/jacques-chirac-mele-au-meurtre-dun-journaliste-32866

et Tahitipresse :

http://www.tahitipresse.pf/index.cfm?snav=see&presse=25674

qui ont axé sur Chirac et JPK, comme France 3 l’avait déjà fait, Tahitipresse mettant un peu mieux que moi le point sur Clearstream.

Ce pour ne prendre que quelques exemples, qui ne donnent par ailleurs pas les références du JO.

Les agences de presse sont-elles toutes aussi mauvaises ?

Je vous laisse lire le JDD en ligne :

http://www.lejdd.fr/cmc/societe/200842/chirac-compte-a-rebours_158169.html

RTL Info :

http://www.rtlinfo.be/rtl/news/article/184082/--Compte+présumé+de+Chirac+au+Japon:+avis+favorable+à+la+déclassification+de+documents

L’Obs en ligne :

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/politique/20081018.OBS6531/compte_presume_de_chirac__des_documents_pourraient_etre.html

et quelques autres qui, comme moi, font des choses de bas étage. Ne vous gênez pas, mais dans ce cas : ne lisez rien, ne regardez rien, n’écoutez rien !

je te remercie, surtout pour ton dernier paragraphe, effectivement je n'effectue aucune lecture et surtout aucune vision audiovisuelle sur des émissions de pseudo investigations.......
j'apprécie surtout les journaux qui possédent une grille sudoku, pour aller au wc le matin.........
je te remercie également de m'avoir mis en relation avec rené......(président auto proclamé par lui...)

svp rené, je ne voudrais pas être sur ta liste de diffusion, n'encombre pas ma boite mail par tes messages

il parait que le secret défense a été levé en ce qui concerne un éventuel compte secret détenu par JC… ?
Bisounette interrogative

Bisounette,

c’est en ligne ici :

http://menilmontant.numeriblog.fr/mon_weblog/2008/10/herv-morin-lve.html

Mais cette fois je ne parle pas directement du juge Redonnet qui, ici, m’avait valu quelques « bons points »

http://www.wikio.fr/news/Jean-François+Redonnet

et indirectement l’animosité de M. Félicien Micheloni…

Voici un article du Monde qui explique qui est ce Félicien Micheloni, si indigné :

Enquête
Sombres tropiques : la Polynésie des années Flosse
LE MONDE | 17.01.08 | 14h17 •

PAPEETE ENVOYÉ SPÉCIAL

Il avait 37 ans, une sacrée gueule de flibustier, il était doué pour la vie, les femmes, le surf. Et le journalisme. Jean-Pascal Couraud signait ses articles "JPK", lorsqu'il était rédacteur en chef des Nouvelles du Pacifique, à Tahiti, entre 1986 et 1988. Avant de se faire licencier, pour cause de crime de "lèse-Gaston Flosse". C'était sa marotte : dénoncer les petits accommodements avec la morale, en Polynésie française, sous le règne de l'inamovible sénateur UMP Gaston Flosse, 76 ans, 9 enfants, une palanquée de mandats électifs, toujours en lice pour les élections territoriales de mars. Un soir de décembre 1997, JPK a disparu. Brutalement. Dix ans après, il n'a toujours pas réapparu.

Jean-Pascal Couraud avait rejoint l'île à l'âge de 5 ans, pour ne plus la quitter, dans le sillage de ses parents enseignants. Après le journalisme, il était passé au militantisme. Il s'était rapproché de Boris Leontieff, le seul réel opposant politique d'envergure à Gaston Flosse, président du gouvernement de la Polynésie de 1984 à 1986, puis de 1991 à 2004. Il l'avait suivi à la mairie d'Arue, dans la banlieue de Papeete, d'où il poursuivait sa croisade, celle d'une gauche qui se rêvait un destin politique. Boris Leontieff n'a pas eu le temps de goûter aux ivresses du pouvoir : il est décédé dans un mystérieux accident d'avion, dans le Pacifique, en mai 2002 - une enquête est encore en cours. C'était avant les années Oscar Temaru, qui accédera à la présidence du gouvernement de la Polynésie française en 2004.

Pigiste occasionnel au Canard enchaîné, JPK, marié à Miri Couraud, père de deux enfants, traquait encore l'information sensible au moment de sa disparition. Son cas est devenu un dossier judiciaire, l'une de ces affaires qui empoisonnent un climat. Il y a la thèse du suicide, toujours en vigueur. L'hypothèse du crime passionnel, jamais vraiment écartée, mais les preuves manquent. Et enfin, la trame politique, le scénario de polar, sur fond de règlements de comptes : parce qu'il dérangeait, JPK aurait été éliminé par des sbires à la solde de Gaston Flosse. L'enquête judiciaire aura donc duré dix ans, elle n'est pas encore close. Rien ne dit qu'elle aboutira. Mais elle aura au moins permis de jeter un éclairage cru sur les années Flosse à Tahiti.

Dans la nuit du 15 au 16 décembre 1997, après s'être endormie au salon, Miri Couraud se rend dans la chambre à coucher, soulève le drap, et découvre, en lieu et place de son époux, un crâne humain. Un "souvenir" que conservait JPK depuis longtemps. Et un mot, posé sur la table de la cuisine : "Quoique je fasse, où que j'aille, je continuerai de t'aimer." L'enquête a établi qu'il avait pris des somnifères et emporté ses palmes, lui le nageur émérite.

Chez elle, Miri attend deux heures, selon ses dires, puis convoque Francis Stein, à 1 h 20. Un personnage, Francis Stein. Proche de Leontieff, lui aussi. Copain de surf de JPK, futur ministre éphémère dans le gouvernement d'Oscar Temaru - en 2004. Amant de Miri Couraud, surtout. Dix jours plus tôt, JPK avait "piqué une crise" en les voyant, à la pointe des Pêcheurs, en contrebas de sa maison. Ce 16 décembre 1997, Francis Stein se rend donc au domicile des Couraud.

Dix ans plus tard, Francis Stein ne veut toujours pas admettre la relation adultérine. Dans le recoin d'un salon de thé de Papeete, il enregistre la conversation avec un lecteur MP3. Méfiant. "Je n'ai pas eu de dispute avec JPK ce soir-là, lâche-t-il, je ne suis pas venu chez lui avant le coup de fil de sa femme." Les gendarmes doutent encore aujourd'hui de sa version des faits, n'écartent pas l'idée d'une violente dispute qui aurait dégénéré. Avec cette inconnue : pourquoi Miri Couraud, dans les heures suivant la disparition de son mari, va-t-elle s'empresser de détruire le mot laissé par celui-ci ? Elle niera même son existence.

Les deux amants demeurent muets. Il faudra attendre une ultime garde à vue, tardive, en janvier 2007, pour qu'ils admettent leur relation. Et que la jeune femme reconnaisse avoir détruit le mot laissé par JPK. "Je ne suis en rien responsable de ce qui a pu arriver à JPK, dit Francis Stein, j'arrive encore à me regarder dans un miroir." Miri Couraud, elle, fuit résolument la presse.

En dépit des mystères de cette thèse du crime passionnel, la famille Couraud se résout dans un premier temps à accepter l'idée du suicide. "J'ai très longtemps cru à cette hypothèse, reconnaît le frère de JPK, Philippe Couraud, 47 ans. Même si Miri Couraud mentait sur le déroulement des faits, je savais que mon frère était dépressif, il venait de réclamer un arrêt-maladie. Il connaissait la liaison entretenue par sa femme. Ça me paraissait simplement incohérent que mon frère ait pu parcourir quelques kilomètres à pied, avec ses palmes, en pleine nuit, sous l'emprise de somnifères. Ma mère a tout de même déposé une plainte."

Le 22 janvier 1998, une information judiciaire est ouverte pour enlèvement et séquestration. La justice ne se presse pas. Du moins jusqu'au mois d'octobre 2004, et l'apparition fracassante de Vetea Guilloux dans le décor. Tahiti vit alors une véritable révolution politique. Oscar Temaru succède à Gaston Flosse. Le ménage a été fait dans les bureaux de la somptueuse bâtisse qui abrite la présidence, mais l'équipe Temaru est à l'affût de toute information qui pourrait discréditer le vieux sénateur UMP. Vetea Guilloux tombe à point nommé.

Que raconte-t-il, cet ancien du Groupement d'intervention de la Polynésie (GIP), à un ministre du gouvernement Temaru, ce 5 octobre 2004, alors qu'il est à la recherche d'un logement pour lui et sa famille ? Tout simplement que des membres du GIP, la garde prétorienne de Gaston Flosse, avaient admis devant lui avoir "coulé" JPK.

Bien sûr, Vetea Guilloux a un peu de mal à s'exprimer. Il n'est pas très "éduqué", comme il dit, en triturant sa boucle d'oreille. Mais à 37 ans, il tient à asséner sa vérité. "Un soir, se souvient-il, la bière coulait à flots, on jouait au kiriki (jeu de cartes local)."

Une de ces bringues dont sont friands les Tahitiens, en fin de semaine, où l'on ne maîtrise plus grand-chose, entre deux gorgées d'Hinano, la doucereuse bière polynésienne. "Alors, ils ont raconté ce qui s'est passé. Tino Mara m'a dit qu'avec Tutu Manate, ils avaient emmené Jean-Pascal Couraud au large, entre Tahiti et Moorea. Ils voulaient juste le questionner, ils cherchaient un dossier sur Gaston Flosse. Ça s'est mal terminé. Ils ont téléphoné, du bateau, pour demander des ordres. Et ils ont dit qu'ils l'avaient "ancré".

Même que le type avait "chié dans son froc" avant qu'ils le balancent au fond de l'océan, bien lesté de quatre parpaings pour qu'il coule sans jamais remonter." Mieux, Vetea Guilloux dit également avoir lui-même participé à des filatures d'opposants au régime Flosse, dont celle de JPK. Convoqué à la gendarmerie, il est placé en garde à vue. Il craque. Et revient sur ses déclarations.

"Je n'en pouvais plus, je voulais retrouver ma femme, je m'étais caché cinq jours dans la montagne, et en plus, les enquêteurs m'ont mis en face des deux gars du GIP, dit-il aujourd'hui. Alors j'ai dit aux gendarmes et au parquet que j'avais raconté des conneries. Mais il faut me croire, j'avais vraiment dit la vérité. JPK, ils l'ont tué. C'est ce qu'ils m'ont dit, au GIP." La cour d'appel le condamne en 2005 à un an d'emprisonnement pour dénonciation calomnieuse. Un arrêt cassé par la Cour de cassation en 2006.

Vetea Guilloux ne s'est pas contenté de raconter cette soirée arrosée avec les membres du GIP. Il a aussi narré une scène dont il est incapable de se remémorer la date exacte, même s'il en jure la véracité : "Je filais JPK sur ordre de mes supérieurs. Et j'ai vu un fourgon blanc s'arrêter à sa hauteur. Le fourgon a redémarré, JPK avait disparu. J'ai filé le fourgon, il est entré au siège du GIP." Donc, selon lui, l'ancien journaliste aurait pu être enlevé par le GIP. Ce qui crédibiliserait la thèse de l'interrogatoire musclé ayant abouti à la mort de JPK.

Mais les gendarmes ont vite battu en brèche les déclarations de Vetea Guilloux. Ils ont, entre autres, établi que le GIP ne s'était doté de fourgons de couleur blanche qu'en 1998, soit après la disparition de JPK. Une foule de témoins est aussi venue contredire Vetea Guilloux. Autant de faits qui ont conduit le parquet de Papeete, dans son réquisitoire définitif de non-lieu, en novembre 2007, à conclure que Vetea Guilloux "n'est pas crédible, et n'a jamais été témoin d'un enlèvement de Jean-Pascal Couraud".

Si son témoignage peut paraître parfois inconsistant, Guilloux a pourtant contraint la justice à enquêter sur les pratiques de l'équipe Flosse. Saisie d'une enquête en janvier 2005 pour "assassinat et complicité d'assassinat", la gendarmerie de Tahiti a pu établir que JPK avait bien fait l'objet d'une surveillance très soutenue des sbires de Gaston Flosse. Et c'est le saisissant portrait d'une île-carcan qui se dessine, à la lueur des déclarations des anciens membres du GIP.

De 1997 à 2004, les opposants au tout-puissant sénateur ont été suivis, écoutés, espionnés. Journalistes, hommes politiques, magistrats... la liste est longue. En toute impunité, Gaston Flosse avait mis en place un système digne de la RDA de la grande époque. "Jamais les GIP n'ont opéré de missions de surveillance sur mes opposants politiques, proteste pourtant le sénateur. Cette affaire est une cabale politique."

Il existait bien, comme le relève le réquisitoire du parquet, un service de renseignements officiels, le service des études et de la documentation (SED), dirigé par André Yhuel, implanté dans un bureau de la présidence. Yhuel, qui avait quitté la direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) à la mi-1997 avec le grade de lieutenant, recevait, note le parquet, "directement ses directives de Jean Prunet, directeur de cabinet de Gaston Flosse". Ce même Prunet est connu de la justice : il a été condamné en 1999 pour avoir recelé les documents et disques durs volés dans le cabinet de l'avocat de JPK, Me Jean-Dominique des Arcis.

Par ailleurs, toujours sous le contrôle d'André Yhuel, une cellule de renseignement, dite "manifeste", avait été créée dans les locaux du GIP. Elle avait été placée sous le contrôle de Félicien Micheloni, ancien adjudant de la DGSE jusqu'en 1997. "Cette cellule avait pour mission de suivre dans leur vie publique et privée les opposants politiques, les amis et familiers du président Gaston Flosse en procédant à des filatures, des photographies, des enregistrements filmés", détaille le parquet. Les informations étaient recueillies et transmises à Micheloni sur des fiches écrites, ou étaient saisies sur disquettes.

"On espionnait tout le monde, se rappelle Vetea Guilloux, qui fut membre de la cellule en 1997. Les copines de Gaston Flosse, les Miss Tahiti, les magistrats, les hommes politiques. Les journalistes. Et donc JPK. On avait un super matériel, de provenance américaine, on filmait les gens, des micros étaient placés dans leurs maisons ou dans les chambres d'hôtel."

Sean Whitman, 38 ans, a lui aussi participé aux basses oeuvres du SED. Placé en garde à vue le 7 avril 2006, il a raconté aux gendarmes sa mission centrée sur l'ex-journaliste. "Je ne me souviens pas de la période à laquelle les filatures de JPK ont commencé. Je pense que c'était environ un mois, un mois et demi avant sa disparition (...). Félicien (Micheloni) nous avait réunis et nous avait dit que nous allions filer Jean-Pascal Couraud (...). Il venait vérifier de temps en temps (...). Je rendais compte verbalement le soir à Félicien et le lendemain par écrit si nécessaire."

Interrogé lui aussi, Félicien Micheloni assure aux gendarmes que JPK est devenu "par hasard" une cible de la cellule. Il confirme en revanche avoir reçu directement de Gaston Flosse l'ordre de procéder à du "renseignement politique". "Pour moi, Félicien Micheloni ment quand il dit que JPK a fait l'objet de filature par hasard, s'insurge Sean Whitman devant les enquêteurs. C'est lui qui nous a donné les ordres concernant cette filature." Contactés par Le Monde, André Yhuel et Sean Whitman n'ont pas souhaité s'exprimer.

Gaston Flosse, pour sa part, dément avoir donné la moindre consigne. "Ce n'est pas moi qui ai donné des ordres pour surveiller JPK, dit-il. D'ailleurs, en quoi représentait-il un danger pour moi ? Je le connaissais, comme tout le monde ici..." Gaston Flosse ne s'est pas toujours désintéressé du sort de JPK : le 8 novembre 2005, les gendarmes ont déniché lors d'une perquisition à son secrétariat particulier un rapport du SED, daté du 13 février 1998, et se rapportant à la disparition de l'ancien journaliste.

A la lueur de ces éléments, le doute n'est guère permis pour Philippe Couraud : "Mon frère détenait des éléments compromettants pour Gaston Flosse. Il travaillait sur une affaire de trafic d'armes, il montait des dossiers très costauds." JPK s'était penché sur le patrimoine de l'élu, avait examiné ses investissements. Sans résultat, puisque Gaston Flosse n'a jamais réellement été touché par des décisions de justice, même s'il est mis en examen pour "détournement de fonds publics et prise illégale d'intérêts" dans deux dossiers : une affaire d'emplois fictifs, et le rachat de l'atoll d'Anuanuraro, où le Territoire est suspecté d'avoir surévalué l'acquisition de 214 hectares à l'homme d'affaires Robert Wan, par ailleurs un intime de Gaston Flosse.

JPK pouvait-il représenter une menace pour M. Flosse, au point de le faire surveiller si étroitement ? La famille Couraud en est persuadée. "JPK avait dès 1996 des renseignements sur les virements opérés au Japon par Flosse", estime Me Max Gatti, le conseil de la famille Couraud.

Mais la justice n'a pas voulu suivre la partie civile sur ce terrain. "Il n'y a aucun élément qui permette de dire que M. Couraud avait trouvé quelque chose, précise François Deby, procureur général à Papeete jusqu'en décembre 2007. Et nous n'avons jamais été saisis de faits relatifs à des transferts de fonds suspects de M. Flosse. Je précise en outre que je n'ai jamais reçu de directives de la chancellerie sur les dossiers liés à M. Flosse."

Alors que rumeurs et chausse-trapes rythment la marche de l'enquête, une association s'est créée à Papeete pour soutenir le combat de la famille Couraud. "Il faut aller plus loin, dit Philippe Couraud, l'enquête a éludé un tas de pistes, comme cette dizaine de témoignages qui corroborent les déclarations de Vetea Guilloux. Je suis convaincu que les GIP ont tué mon frère, il est déjà prouvé qu'ils le surveillaient..."

Une stèle, posée en souvenir de JPK au cimetière de la pointe des Pêcheurs, est soigneusement entretenue, depuis dix ans. La tombe, elle, reste vide.

Gérard Davet
Article paru dans l'édition du 18.01.08

Je vous remercie pour ce commentaire, que l'on ne peut désormais que prendre dans les crédits d'archives du Monde et que j'avais eu l'occasion de lire en mars (et, plus récemment, sur le site de soutien à JPK).

Il peut être utile à la compréhension de certains lecteurs, même si, pour moi, je connais a minima, le cercle de M. Micheloni (il y a des sapeurs-pompiers à Paris, dont un Micheloni, qui était affecté à mon quartier jusqu'à 2000, où il a eu sa mutation non loin de là où j'habitais jusqu'en 1996). Il était dans mon coin en 1997.

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