Le deuxième épisode de “Elysée 2012, la vraie campagne”, la saga réalisée au mois le mois par Serge Moati, et dont la première partie avait été diffusée le lundi 3 octobre passera ce dimanche 6 novembre à 23h15 sur France3, selon le guide de la chaîne publique.
Le Temps des primaires. Tel est le sous-titre de cette deuxième partie, dont, bien entendu on connaît l’issue: la victoire de François Hollande, et surtout une importante participation. Ce que l’on sait moins, que l’on ait ou pas voté, ce sont les coulisses de cette désignation, première du genre en France. C’est ce que les caméras de Serge Moati se proposent de faire découvrir en 52 minutes. Hélas tardivement, après trois épisodes de Murdoch, la météo, et le Soir3…
De l’organisation pratique de cet exercice inédit aux différences de plus en plus marquées entre les candidats, le docu-réalité emmène le téléspectateur dans les coulisses de la dernière ligne droite de la primaire socialiste (des images avaient déjà été diffusées dans la première partie de «Elysée 2012, la vraie campagne»), suivant les meetings, déplacements, ou réunions.
A l’autre bout de l’échiquier politique, l’UMP tente de rassembler ses troupes au lendemain de l’échec des sénatoriales du 25 septembre. Comme dans la vidéo ci-dessus, autour des questions de sécurité.
Du côté de la gauche du PS, pour la première fois depuis 1974, il n’y a pas de candidat estampillé PCF à l’élection présidentielle, mais un candidat «Front de Gauche», c’est-à-dire soutenu par le Parti communiste, en la personne de Jean-Luc Mélenchon, qui a su s’imposer en candidat rassembleur.
Si le premier épisode avait pu être prévisionné lors de son montage par quelques blogueurs, dont votre serviteur (et pas par la presse traditionnelle), ce n’est pas le cas de celui-ci, livré directement à la chaîne publique pour diffusion.
F. A., vidéo FranceTV (1 min. 20), extrait des images d'un meeting UMP autour de Bruno Beschizza, conseiller régional d'Ile-de-France, responsable national en charge des questions de sécurité à l'UMP, à Nemours (Nièvre), le 4 octobre
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