29,2% des étudiants et étudiants parisiens n'excluent pas d'user de leurs charmes pour financer leurs études en se livrant à la prostitution, en s'exhibant dans des spectacles coquins ou en offrant leurs services sur Internet, selon une enquête sur la prostitution estudiantine, citée par Reuters.
A Kiev (Ukraine), le taux est de 18,5%, et à Berlin (Allemagne), ville depuis laquelle l’enquête a été menée, de 33%
Une conférence ayant pour thème la prostitution comme emploi à temps partiel avait lieu ce mercredi 18 mai à Berlin (programme ici, en allemand).
Mardi, la Société mutualiste des étudiants de la région parisienne (Smerep) avait publié les données d'un sondage Harris Interactive indiquant une nette dégradation de la situation financière et psychologique des étudiants franciliens. Ils étaient 10% de plus qu'en 2007 à éprouver des difficultés financières.
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