Jusqu’au 11 juin, une nouvelle campagne de l’INCa (Institut national du cancer), sur le thème «la recherche sur les cancers avance, changeons de regard», est déclinée sur les abris de bus, dans les stations de métro, et à la télé.
Si le terme de cancer a été utilisé ces dernier temps à mauvais escient pour culpabiliser les salauds de pauvres comme ce dangereux quinquagénaire —jusqu'à donner lieu à une réponse de la Ligue— c’est à son sens initial qu’il réapparaît en deux phases.
La campagne de communication s’articule en deux points: une campagne d’affichage du 17 au 25 mai, avec dix affiches (cinq fois deux), et une campagne télévisée du 22 mai au 11 juin, avec deux spots, l'un dans un immeuble, l'autre au travail dans un “open space”.
Une page Facebook est également en place.
Une conférence de presse vient d’avoir lieu avec la secrétaire d’Etat à la Santé, dont Catherine Cerisey, une mère de famille récidiviste du cancer du sein, nous livre quelques impressions sur son blogue.
Il est tout de même incroyable de devoir encore faire de telles campagnes, comme pour les personnes atteintes du sida.
Apprends-nous un jour le vivre ensemble sans jugement imbécile ou peur de l'autre ?
Rédigé par : Anne-Marie | 20/05/2011 à 09h21
comme dit le sloggan "je ne suis (peut être) pas guéri(e) mais je suis en vie"...
moi j'ai vu mon cancer comme un truc extérieur à moi, je ne l'avais pas invité, il est entré par effraction...je l'ai mis dehors...espérons qu'il ne rentre pas par la fenêtre...
le regard des autres est plutôt compatissant et gentil, pas vu de rejet ou de mépris.
Rédigé par : miss P | 22/05/2011 à 23h09