Député de la 1e circonscription d’Indre-et-Loire, Jean-Patrick Gille, est président de l’Union nationale des missions locales (UNML). A ce titre, il a été auditionné mercredi 16 mars par la section du travail et de l'emploi du Conseil économique, social et environnemental (CESE), dans le cadre de la préparation d'un rapport et d'un avis intitulés Pôle emploi et la réforme du service public de l'emploi : quelle efficacité pour les travailleurs et les employeurs.
Il considère que la multiplication des mesures incitatives pour l’emploi des jeunes est contre-productive, et que la situation actuelle n’est «plus acceptable». En quatre minutes (vidéo ci-dessus), il dresse un portrait de l’emploi des jeunes en France, depuis trente ans, et le rapport rendu par Bertrand Schwartz sur l’insertion professionnelle et sociale des jeunes (qui vient d’être réédité).
Il se montre défavorable à «une fusion absorption» entre les missions locales qu’il préside et le service public de l’emploi, Pôle emploi. «On a systématisé le fait que les jeunes sont une variable d'ajustement dans notre économie», estime par ailleurs le député.
Le CESE doit examiner son projet d’avis au cours de sa séance plénière des 12 et 13 juillet 2011.
Merci à Jean-Paul Delevoye, nouveau président du CESE, d’avoir signalé cette vidéo sur son compte twitter.
Vous voulez une solution pour la jeunesse ?
1/ majorité à 16 ans
2/ A 16 ans obtention du Bac ou non suivant moyenne de la scolarité par exemple 12/20
Possibilité aux jeunes de continuer leurs études si moyenne minimum de 15/20
Pour les autres formation à un métier suivant leurs choix.
3/ A partir de leur 16éme année allocation de formation représentant le 1/4 du SDV (salaire de vie) et progressive chaque année durant leur formation,(études ou apprentissage avec ou sans alternance)
Le SDV servant de base pour calculer les différentes allocations représente 60% du revenu moyen net national.
Ce qui veut dire moins de jeunes poursuivant les études supérieures, davantage de jeunes entrant dans la vie active plus tôt, pas de salaire à verser de la part de l'employeur qui formera le jeune apprenti.
Avantage pour les jeunes ayant un salaire pour leur formation , çà motive et çà responsabilise, avantage pour l'entreprise ou un artisan ou un jeune créateur d'entreprise qui peut avoir un apprenti mais également une main d'oeuvre gratuite vu qu'il n'a pas de salaire à lui verser le temps de sa formation.
A l'arrivée moins de chômage pour les jeunes, moins de violence également dans les banlieues , la jeunesse est occupée ,respectée ,et payée.
Mais je vous parle d'un temps que vous ne pouvez pas connaître, celui du futur quand le peuple souhaitera changer de système.
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Rédigé par : Jean Pierre Baron | 18/03/2011 à 21h22