La majorité des députés avait (dans la première chambre) rejeté l'amendement. Cette nuit, sous la pression de l’élu du 20e arrondissement de Paris, le sénateur socialiste David Assouline, et contre l’avis du gouvernement (Rachida Dati, qui doit partir demain célébrer les 60 ans de l’Etat d’Israël) les sénateurs l'ont adopté.
Cet amendement socialiste vise à inscrire dans la Constitution le principe de « la liberté, du pluralisme et de l'indépendance des médias ». Pour Rachita Dati, « il faudrait alors mentionner toutes les autres libertés ». Mais le président UMP de la commission des lois du Sénat a donné un avis positif. Et l'amendement sénatorial a été voté.
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