Carla Bruni-Sarkozy affirme dans un entretien publié par le quotidien Libération avoir des « réflexes épidermiques de gauche ». La première dame de France se dit toutefois assez peu engagée politiquement.
« Mes réflexes épidermiques sont de gauche », déclare l'épouse du président issu du parti de droite UMP dans cet entretien accordé au journal français marqué à gauche. « J'ai toujours les mêmes convictions même si je suis une femme assez peu engagée politiquement », souligne celle qui avait un temps soutenu la candidature de Ségolène Royal à l'Elysée, en 2007.
L'épouse du chef de l'Etat affirme qu'elle votera pour Nicolas Sarkozy en 2012 s'il brigue un nouveau mandat, ce dont elle doute.
Carla Bruni-Sarkozy, qui s'était engagée à l'automne contre l'introduction des tests ADN dans la procédure de regroupement familial, affirme qu'aujourd'hui, si elle était libre d'aller à un meeting contre le projet du gouvernement, elle y irait.
Elle dit également qu'elle « aime beaucoup » Brice Hortefeux, le ministre de l'Immigration, « en tant que personne ».
Agence télégraphique suisse, photo Libération
⇒ Les cinq sujets de Libération de ce matin
⇒ On notera que nos voisins helvètes emploient le patronyme « Bruni-Sarkozy », qui est celui de l’épouse du président, et non celui de « Bruni », qui est celui de l’artiste, contrairement à Libération.
⇒ Carla Bruni, messagère d’Allah en 2003, selon l’Express
⇒ Selon nos informations, Carla Bruni aurait entamé en octobre dernier des démarches de naturalisation, en vue de devenir Française, et se serait inscrite sur les listes électorales parisiennes, ce qui lui permettra, quelle que soit sa nationalité de voter aux élections européennes de 2009 en France.
⇒ Radio Sarko Europe 1 a confirmé ce matin que, au sein de l’Elysée, une cellule était chargée de la promotion de l’album de Carla Bruni, qui, indique Libération, sortira le 11 juillet, et non le 21 comme précédemment annoncé.
⇒ Selon l’édition d’hier du Parisien, la pipolisation de la famille Sarkozy va s’étendre jusqu’au soixantenaire de l’Etat d’Israël : le président a prévu de partir avec Arthur, Enrico Macias et Régine pour son voyage en Israël et en Palestine, en sus des personnalités politiques et des représentants de la communauté juive de France. Le 25 mai, au Trocadéro, pour la même occasion, il était avec Arthur, Michel Drucker et Rika Zaraï, tout comme il était allé au Vatican avec Jean-Marie Bigard…
F. A.
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