Ménilmontant, mais oui madame...

Un communautarisme indécent : une négation de la démocratie et de la République

…où comment Michel Charzat reçoit indirectement le soutien du Front national…

Législatives de juin 2007. Un petit événement se produit à Paris : il ne changera pas grand-chose mais il est symbolique de quelque chose qui a déjà changé.

Dans une circonscription du 20e arrondissement de Paris, le maire de cet arrondissement, Michel Charzat, vieux dirigeant du P.S, proche de Laurent Fabius, a été écarté, sans vote des militants, de la possibilité de représenter le Parti socialiste aux élections législatives. A sa place a été choisie George Pau-Langevin, qui est une femme comme son nom ne l’indique pas, et par ailleurs une femme noire originaire de l’outre-mer, aussi ancienne présidente du MRAP. Elle a donc été préférée par la direction du P.S à Michel Charzat, député sortant et maire du 20e arrondissement depuis 1995, et à Sophia Chirikou, issue d’une famille kabyle, et auteur de Ma France laïque (La Martinière, 2007).

Michel Charzat avait annoncé son souhait de laisser la place à Sophia Chirikou, connue notamment pour animer une association culturelle berbère dans l’arrondissement, mais non à George Pau-Langevin, sans implantation locale et choisie essentiellement pour des raisons communautaristes (noire et issue de l’outre-mer) – et accessoirement pour barrer la route à Mme Chirikou et à M. Charzat, tous deux hostiles au Traité européen de 2005. De ce fait, M. Charzat se présente sans investiture du P.S et avec Sophia Chirikou comme suppléante.

Au-delà de cet épisode, ce qui se manifeste est une dérive antirépublicaine majeure. L’ancien sénateur du Mouvement Républicain et Citoyen (mouvement de J-P Chevènement) Jean-Yves Autexier, conseiller de Paris, déclare ainsi à juste titre à propos de cet exemple qui a une portée générale : « Les citoyens du 20ème arrondissement de Paris sont devenus en effet les otages d’un genre nouveau. Un appareil politique – en l’occurrence le PS - est en train de choisir qui les représentera à l’Assemblée nationale. Sur quels critères ? Evoqueront-ils leur attitude vis-à-vis de la « constitution européenne », du service public, de nos relations avec l’Asie émergente, avec les Etats-Unis… ?

Apparemment, c’est la couleur de la peau qui fait la différence ! Il y a quelque chose d’indécent à voir les chantres de la démocratie choisir en lieu et place des électeurs – mais aussi semble-t-il en lieu et place de ceux qui font vivre l’engagement politique sur le terrain, le ou là député de cette circonscription, pris comme exemple. On voit que l’apologie du différentialisme va de pair avec le mépris du peuple des électeurs. Lesquels n’ont rien à dire : un parti est censé choisir pour eux leur député, selon un critère d’origine. On voit le résultat : dès lors qu’on s’écarte du principe du choix d’un candidat sur options politiques – sous le contrôle des citoyens – on se dirige bien vite vers un choix sur critère racial – dans les antichambres des partis. Ce sommeil de la raison engendre des monstres : rivalité des communautés entre elles, opposition entre groupes de pression antillais ou maghrébins, dépossession du libre choix pour un arbitrage bureaucratique entre le poids électoral des ultramarins et celui des Français du Maghreb.

Voltaire, Rousseau, Jaurès, réveillez vous ! ils sont devenus fous. Voilà où conduit l’exaltation de la différence.


Face à une aussi désastreuse régression, rappelons que l’idée républicaine d’égalité nous invite à apprécier les candidats selon ce qu’ils pensent et non selon leur couleur. Pour moi, je me sentirai toujours plus proche d’un candidat noir partisan du non au referendum du 29 mai 2005 sur le traité constitutionnel européen que d’un Creusois partisan du oui ! Rappelons que l’idée démocratique fait du peuple le seul souverain et que le choix de ses représentants ne peut être confisqué par un parti, sauf à se préparer à de rudes déconvenues. Décidément, l’irruption du peuple dans les affaires qui le concernent est devenue urgente. On ne saurait mieux dire.

© Pierre Le Vigan, pour Altermedia.Info, site de soutien au Front national

Nicolamania

Saint-Nicolas est arrivé

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A quelques jours d'une vague bleue annoncée à l'Assemblée nationale, le nouveau président est partout, et les médias sous surveillance le célèbrent. Celui qui se présente en protecteur a surtout besoin de nous protéger du père Fouettard qui est en lui. Droit dans son "boat", le nouveau président entend mener les Français à la baguette, et au pas de course (tenue de jogging exigée).

Contrairement à Robin des bois, il veut prendre aux pauvres pour donner aux plus riches. Toutes les premières mesures annoncées sont des cadeaux aux plus aisés. L'affaire des franchises médicales - et ce n'est qu'un exemple - est un affront à de nombreux patients (les plus fragiles et les plus démunis) qui se battent pour survivre. Nicolas, toujours au service de lui-même, entend mener une guerre éclair, au coeur de l'été. Son « ouverture » est une sale ruse pour laminer toutes oppositions. Il ne veut voir qu'une seule tête. La sienne !

© Stéphane Vallet, dans Le Journal d’un inquiet

Vers un tandem Jeantet-Beffa pour diriger Le Monde ?

Pierre Jeantet, actuel numéro deux du groupe Le Monde, est donné favori pour succéder à Jean-Marie Colombani, dont le mandat de président du directoire arrive à échéance le 30 juin prochain.

Il a présenté officiellement sa candidature le 4 juin par courrier au président du conseil de surveillance, Alain Minc, dans lequel il envisage « de rééquilibrer nos charges financières et de restaurer notre trésorerie en agissant énergiquement sur les coûts de fonctionnement du Groupe ». Pierre Jeantet recueillerait l’assentiment du conseil de gérance de la Société des rédacteurs du Monde (21,87%) et d’Alain Minc, selon des sources internes. Mais Jean-Louis Beffa, actuel p-dg de Saint Gobain et membre influent du conseil de surveillance du Monde, lui reprocherait un « manque de charisme ». Ce dernier aurait donc exigé qu’un cabinet de recrutement (Éric Salmon & partners) soit désigné pour apporter des « candidatures externes légitimes ».

Autre postulant officiellement déclaré, Philippe Thureau-Dangin, directeur de la rédaction de l'hebdomadaire du groupe Courrier international (groupe Le Monde), ne serait soutenu que par l’aile gauche de la rédaction du quotidien et aurait la défaveur d’actionnaires externes, pointant son manque d’expérience de patron de groupe et une faible connaissance des enjeux de la presse quotidienne. Les actionnaires externes, qui avaient accordé unanimement leur soutien à Jean-Marie Colombani pour un troisième mandat de six ans, ont finalement accepté, après expertise juridique présentée lors d’une réunion informelle avec le président du conseil de surveillance Alain Minc le 24 mai, la « validité arithmétique et statutaire du vote des actionnaires internes », qui l’avaient en minorité le 22 mai. Les deux délégations d’actionnaires internes et externes devaient désormais établir lors d’une réunion mercredi 6 juin une « short-list » de deux à quatre candidats, issues des candidatures officielles recueillies par Alain Minc et des propositions du chasseur de têtes.

Un conseil de surveillance prévu le 12 juin devra auditionner les prétendants retenus puis choisir le « candidat du consensus » qui sera présenté aux votes de la SRM et des salariés de Publications de La Vie catholique. Enfin, 18 des 20 administrateurs du Monde, dont Alain Minc, sont en renouvellement de mandat au cours de l’assemblée générale des actionnaires prévue avant le mois de juillet. Jean-Louis Beffa, qui quitte ses fonctions exécutives à Saint Gobain le 7 juin pour devenir son président du conseil d’administration, pourrait, selon certains administrateurs, solliciter la présidence du conseil de surveillance du Monde face à Alain Minc, contre lequel une motion de défiance a été réclamée par des membres de la rédaction du Monde.

Presse News - N°303

Roche rappelle ses lots de Viracept®

Une « impureté chimique » a été détectée

Roche a décidé de procéder au rappel de tous les lots du médicament Viracept, qu'ils se présentent sous forme de poudre orale ou de comprimés. Le rappel concerne l'Europe et certaines autres régions du monde.

Ce rappel est effectué « en accord et en collaboration » avec les autorités de la santé (EMEA et Swissmedic), indique Roche dans un communiqué publié mercredi soir.

Roche prie les patients traités avec ce produit de contacter leur médecin afin de discuter des alternatives thérapeutiques.

Les Etats-Unis, le Canada et le Japon ne sont pas concernés par ce rappel.

Roche indique avoir reçu « plusieurs rapports » selon lesquels certains lots de comprimés de Viracept à 250 mg présentaient une odeur bizarre. L'analyse chimique détaillée des comprimés concernés a montré qu'ils contenaient un taux de méthanesulfonate d'éthyle « supérieur à la normale », peut-on lire dans le communiqué du groupe pharmaceutique.

Le Viracept (nelfinavir) est une antiprotéase distribuée par Roche dans tous les pays autres que les Etats-Unis et le Canada. Viracept a été commercialisé pour la première fois par le groupe Roche en 1998.

Source : Agence de presse économique AWP-Zürich

Depuis hier, en France, un numéro vert a été mis en place à destination des patients et des professionnels de santé. Il s’agit du 0800 88 17 87.

Le PS affiche ses divisions dans le 20ème arrondissement de Paris

Paris 20ème, boulevard de Charonne. Installé à la terrasse d’un café, Michel Charasse est en plein réquisitoire. « Non mais, lequel des deux est le vrai socialiste ? Cette candidate est un pur produit de la cuisse de Jupiter ! »

Le sénateur du Puy-de-Dôme, plusieurs fois ministre et ancien conseiller de François Mitterrand, dénonce la candidature de George Pau-Langevin, investie par le PS dans la 21ème circonscription de Paris. Il soutient le député-maire sortant Michel Charzat, candidat « dissident » et, de fait, exclu du PS. Ce dernier dénonce « une OPA inamicale sur le 20ème » et fustige « une décision illégale de la part des instances du parti. Le vote de ratification des adhérents n’a pas eu lieu, cette candidate n’a aucune légitimité. » Selon eux, François Hollande a investi George Pau-Langevin uniquement parce que Michel Charzat est fabiusien. « Des méthodes de brousse africaine ! », tonne Michel Charasse.

Quelques centaines de mètres plus loin, rue d’Avron, l’ambiance est plus décontractée. Dominique Strauss-Kahn, député du Val d’Oise, plusieurs fois ministre et candidat malheureux à l’investiture socialiste pour la présidentielle, vient soutenir la candidate « officielle » George Pau-Langevin. Entre deux passages éclairs dans des boutiques, DSK, qui refuse d’évoquer les divisions du Parti socialiste, vante les mérites de sa candidate. « C’est une femme, issue d’une minorité visible, son combat est emblématique », martèle-t-il. Ce qui ne l’empêche pas de dénoncer « les intérêts mesquins et personnels » de Michel Charzat.

Le second tour ? « Mon adversaire va se désister avant le premier tour. Sa candidature n’a aucun sens », affirme George Pau-Langevin. Michel Charzat assure, lui, qu’il se désistera s’il n’arrive pas premier le 10 juin. « Comment voulez-vous que les électeurs ne soient pas déboussolés ? », se désole Michel Charasse…

© Cyriel Martin, Le Point

Débat télévisé avec Pierre Mansat ce soir

Quatre candidats aux Législatives invités sur Paris Cap’

Ce mercredi 6 juin 2007, de 19h45 à 21h, la chaîne câblée Paris Cap’ (installée depuis novembre dernier dans les mythiques studios de la rue Cognac-Jay) organise deux débats entre quatre candidats aux élections législatives, autour de l’animateur Patrice Carmouze.

Pierre Mansat, Adjoint au Maire de Paris, chargé des relations avec les collectivités territoriales d'Ile-de-France (candidat PCF à la 21e circonscription de Paris) sera opposé à Djamel Bouras (candidat MoDem sur la 2e circonscription de Seine-Saint-Denis).

Pour sa part, Claude-Annick Tissot, candidate UMP de la 7e circonscription de Paris, sera face à Martine Billard, candidate des Verts sur la 1e circonscription de Paris, députée non inscrite sortante.

L’animateur du Café du Commerce, Alessandro, sera en duplex de la place Maubert-Mutualité (5e). Les participants au Café du Commerce de lundi dernier sont ici. L’émission est là (partie télévisée et partie Internet). La prochaine devrait avoir lieu le 11 juin, dans le 11e ou dans le 2e arrondissement.

Paris Cap’ est diffusée sur le Réseau Noos-Numéricâble (canal 15) à Paris et en procche banlieue.

La fiche wikipédia de l’élu comuniste du 20e est ici.

Le Grenelle des Pinocchios

Les annonces du gouvernement concernant l’écologie ne sont que des gesticulations qui laissent de côté les vrais problèmes

Le ministère de l’Ecologie au premier rang gouvernemental, un Grenelle de l’environnement pour prendre sujet après sujet les mesures nécessaires à la sauvegarde de la planète, en concertation avec les grandes associations. On ne pourrait que se réjouir que MM. Sarkozy, Fillon et Juppé fassent enfin ce que les Verts attendaient depuis des décennies. On aurait tant aimé y croire ! Parce qu’à regarder de près on se demande si l’écrivain Carlo Collodi n’avait pas rêvé de nos gouvernants, cauchemardé peut-être, quand il imagina le nez de Pinocchio s’étirant à chaque mensonge.

Déclarations contradictoires, décisions remises à octobre ou aux calendes grecques, l’effet de serre étant moins urgent pour le gouvernement que les déductions d’impôts et les soins aux exilés fiscaux, il y a des signes cliniques inquiétants et on s’inquiète pour la longueur de l’appendice nasal de Leurs Excellences. Le débat semble parfois être clos avant d’avoir commencé. M. Juppé a déjà décidé qu’il n’y avait « pas de solution sans le nucléaire », le réseau Sortir du nucléaire, regroupement de 760 associations, n’étant même pas convié au débat. Les décrets lançant la centrale de troisième génération ne sont pas abrogés ; on en parlera aussi à l’automne, après que le coup sera joué. On prétend lutter contre l’effet de serre, mais nul arrêt à la construction des autoroutes.

Nulle déclaration gouvernementale remettant en cause la priorité à la route, la politique en faveur des transports en commun se limite à attaquer le droit de grève. On prétend défendre la biodiversité, mais on remet à après les vacances un moratoire sur les OGM. Tant pis encore pour la nature et la protection de la santé des citoyens. Alain Juppé disait vouloir « un plan d’actions ambitieux » qui fixerait « des engagements concrets qui constitueront un véritable contrat quinquennal ».

On se reverra en octobre, une fois les législatives passées, bien sûr… Il y avait pourtant un moyen d’aller vite sur l’essentiel, de répondre à l’urgence écologique, c’était de ne pas exclure les Verts des rencontres, de reconnaître enfin que l’écologie est un autre projet de société.

Craignons hélas qu’au-delà des promesses de campagne il ne faille pas longtemps avant de déclamer la tirade de Cyrano en voyant les pifs et tarins de nos Pinocchio de président et ministres au journal de 20heures : « C’est un pic, c’est un cap, que dis-je, c’est une péninsule. » En sus des césars du cinéma et des victoires de la musique, les Verts demandent une soirée pour décerner les pinocchios d’or de l’environnement.

© Cécile Duflot, secrétaire nationale des Verts (Libération du mercredi 6 juin 2007)

La Guerre des Six Jours ce soir sur Arte

Les Mercredis de l’Histoire diffusent un documentaire inédit en deux parties

Ce soir à partir de 20h40, la chaîne franco-allemande diffuse un documentaire sur la Guerre des Six jours (lire ICI ce qui a été publié hier en rubrique Proche-Orient).

« Traumatisme indélébile pour les Arabes, victoire empoisonnée pour Israël, la guerre des Six Jours constitue un tournant majeur dans l'histoire du Moyen-Orient. Quarante ans après, décryptage minutieux du conflit et de ses conséquences. », indique le site d’Arte (lire la suite en cliquant ici).

Forum, interview du réalisateur, vidéos inédites et autres sont là.

Une soirée pleine d’images d’archives, dont certaines critiques disent que la deuxième partie est plus passionnante que la première… Il s'agit pourtant d'un documentaire réalisé par un Israélien résidant aux Etats-Unis (voir ci-dessous) et comportant de nombreuses images d'archives inédites.

La guerre des Six Jours
(France, 2007, 52mn)
ARTE France
Réalisateur: Ilan Ziv
Une coproduction Point du Jour, Instinct Films, Alma Films et ARTE France
(2007 - 2 x 52’) Canada – France – Israël
Rediffusions : 10 et 17 juin 2007 à 18:05, soit, pour ceux qui ont le câble ou la TNT, en attendant les premières estimations des élections législatives…

La présentation de la soirée sur Diasporablog.

Cécilia Sarkozy privée de cabinet

Petit recadrage de l’Elysée. Cécilia Sarkozy ne dispose ni « d'un cabinet » ni « d'une équipe de conseillers », a assuré mardi David Martinon, le porte-parole de la présidence de la République. Réagissant « à plusieurs interrogations et à la publication d'informations erronées dans la presse », il a affirmé qu'il n'y avait à la présidence de la République « qu'une seule équipe : celle du président ».

« Simplement, il a été demandé à certains conseillers de l'équipe présidentielle de traiter, en plus de leurs attributions, les demandes qui pourraient être formulées auprès de Mme Cécilia Sarkozy », a-t-il précisé.

Selon lui, « tel est le cas de Nicolas de la Grandville, qui fait partie intégrante de la cellule diplomatique de l'Elysée ». Adjoint au conseiller diplomatique Jean-David Levitte, il est chargé des « dossiers transversaux » alors que Le Figaro indiquait qu’il serait conseiller diplomatique de la première dame de France lors de ses déplacements à l’étranger.

Henri Guaino, conseiller spécial de Nicolas Sarkozy à l'Elysée, avait pourtant souligné la semaine dernière que « l'épouse du président de la République a, qu'on le veuille ou non, un rôle » et qu'elle doit en conséquence disposer d'une équipe.

© 20 Minutes

Mois du développement durable

Nombreuses animations, dégustations, expositions, …

Chacun devient plus soucieux des problématiques liées à la raréfaction des ressources, au commerce, à la biodiversité, au respect de la nature, aux énergies écologiques renouvelables, et souhaiterait trouver des alternatives au tout industriel… Jusqu’au 30 juin, dans le 20e, les acteurs du développement durable se mobilisent. L’objectif est triple : motiver et encourager les changements de comportements, démontrer l’efficacité des bons réflexes pour économiser l’énergie et éduquer à l’éco-citoyenneté.

Lire la suite ici.

Par ailleurs, dans le cadre des « Vendredis de la Teinturerie » des Verts du 20e (qui, lors de la refondation de leur site ont créé une gigantesque liste de liens locaux), la réunion du vendredi 8 juin est annulée. En revanche, elle est remplacée par la projection du film (avec Al Gore.) « Une Vérité qui dérange » (à 19 heures, au Centre d’animation Louis Lumière, 46 rue Louis-Lumière, 20e).

Pour de plus amples renseignements, cliquer ici.

Voici quelques jours, le président Sarkozy disait vouloir « reprendre le flambeau » de l’ancien vice-président américain… Du travail supplémentaire en perspective pour Alain Juppé (déjà maire de Bordeaux) ou une simple promesse préélectorale ? Toujours est-il que le même jour (1er juin), Dominique Voynet indiquait qu'elle rencontrerait le ministre d'Etat chargé de l'Ecologie seulement après les élections législatives afin de ne pas affaiblir la gauche.

« Je pense que ça ne peut pas se faire avant les législatives. Je n'ai pas l'intention d'affaiblir la gauche à un moment où elle a besoin de toute son énergie dans le contexte de la campagne législative », avait-elle déclaré au micro de RTL.

F. A.