Ménilmontant, mais oui madame...

Ségolène Royal : produit marketing ?

C’est ce qu’affirme le magazine « Stratégies »

Sous le titre Ségolène Royal, naissance d'une « lovemark », le magazine « Stratégies » (spécialisé dans l’actualité du marketing, des marques, des médias et de la communication) publie une intéressante enquête signée Cathy Leitus indiquant que la candidate officielle du PS « s'est imposée aux hiérarques […] avec sous les convictions, le marketing ».

Le sujet rappelle que « Alain Duhamel, vieil observateur de la politique, l'avait même totalement zappée de son livre Les Prétendants, paru en janvier 2006. »

« En politique comme dans l'univers des marques, le succès n'est au rendez-vous que si l'offre rencontre une demande solvable. Comment Ségolène Royal a-t-elle fait pour s'imposer et créer cette préférence jusqu'à devenir une "lovemark", celle qui construit de la fidélité irrationnelle, selon le concept de l'agence Saatchi & Saatchi ? », s’interroge la journaliste, qui fournit ICI ses quatre clés en guise de réponse sur la favorite des sondages (ou des sondeurs ?)… Et ce depuis longtemps, même dans des journaux qu'on ne peut considérer « de gauche » comme « Le Figaro ».

Le passé nous a appris à nous méfier des sondages, donc des sondeurs. A la Présidentielle de 1995, le Premier ministre (qui a annoncé sa retraite de la vie politique à la fin de l'actuelle législature), M. Edouard Balladur, partait favori. D'aucuns le donnaient même élu dès le 1er tour ! Un septennat plus tard, le 21 avril 2002, un autre Premier ministre en exercice, , Lionel Jospin, se laissait lui aussi devancer par deux autres candidats. Sa campagne était « gagnée d'avance » aux yeux de beaucoup ; mais avait-il fait campagne ?

Des surprises peuvent venir de tous les camps. Et il faut compter avec la gauche antilibérale, qui compte parmi ses rangs la communiste Marie-George Buffet, l'apparentée communiste de Paris Clémentine Autain, qui se trouve comme défauts d'être « femme, blonde et jeune » et le très peu médiatique coprésident de la Fondation Copernic, Yves Salesse, le militant syndicaliste et altermondialiste José Bové s'étant retiré au moins provisoirement de la course le jour du meeting commun au gymnase de la Bidassoaavec le mouvement Pour la République sociale (PRS), ardent soutien à Laurent Fabius, mené par le sénateur Mélanchon…

Fabien Abitbol

NB : l'illustration prvient du Parti socialiste. Il ne s'agit ni de la version définitive de l'affiche du Parti (elle ne porte ni le logo ni l'adresse du Siège national) et, dit-on rue de Solférino, pas de celle de la campagne de Mme Royal. Après La force tranquille de François Mitterrand, La rupture tranquille de Nicolas Sarkozy, Pour que ça change fort d'une part ne veut rien dire dans la belle langue Française (sauf en langage de « djeun's ») et d'autre part laisse le flou le plus total dans l'esprit du passant… Seul atout : la candidate est « proche des gens ». Cela suffit-il ?

Atelier 106

Les honneurs de la Mairie du 20e

Du lundi 18 au vendredi 29 décembre, une trentaine d’artistes de l’Atelier 106 exposent au salon d’honneur de la mairie du 20e. Ils y présentent leurs dernières créations en peinture, sculpture, photographie, stylisme, dessin de BD, gravure,… Certains artistes présentent aussi une rétrospective du Collectif 106.

Le vernissage a lieu ce mardi 19 décembre 2006 à 18 h 30.

(Entrée libre)

Horaires d’ouverture :

Du lundi au vendredi de 9 h à 17 heures (le jeudi jusqu'à 19 h).
Le samedi de 9 h à 12 h 30.

En cliquant ICI et en allant à la rubrique « Liens » on a accès aux sites et blogues recommandés par les artistes de l’Atelier 106.

La Poste

La grogne continue

La fédération Sud-PTT (comme d’autres syndicats) continue de perturber certaines opérations dans des bureaux de Poste, notamment dans l’Est parisien.

En date du 15 décembre, ils ont publié sur leur site un communiqué.

Insalubrité

La Siemp traque l'insalubrité des immeubles parisiens

Henri-Phillippe Beaubois, ancien boulanger-pâtissier de 80 ans, est de ces propriétaires qui n'auraient « jamais osé entamer de tels travaux » si la Siemp, la société d'économie mixte de la Ville de Paris chargée d'éradiquer l'insalubrité, ne l'y avait pas poussé. Il possède un immeuble de onze appartements et trois locaux commerciaux à Belleville (20e). Les poutres sont rongées par les parasites et les peintures sont pleines de plomb. Montant de la facture : « 1,2 million d'euros », dont la moitié à sa charge, le reste étant financé par la Ville et l'Etat. Les loyers qu'il pourra pratiquer seront plafonnés durant quinze ans, le temps qu'il pense mettre à amortir l'investissement.

Depuis 2002, 168 immeubles privés de ce type sont redressés par la Siemp : 44 ont déjà subi des travaux de réhabilitation et 95 sont en cours. Quatre ont voté les travaux mais ne les ont pas encore engagés, et 25 n'ont rien voté. A la fin 2007, la Siemp prévoit que 103 bâtiments seront achevés.

Mais le chantier de l'insalubrité est beaucoup plus vaste. En 2001, la Ville de Paris avait recensé 1 044 immeubles insalubres, dont 70 étaient frappés d'arrêtés préfectoraux d'insalubrité. Depuis, une trentaine d'entre eux ont été levés suite à des travaux. Compte tenu de leur état, 266 immeubles doivent faire l'objet d'une appropriation publique pour être réhabilités. Et 422 bénéficient de mesures incitatives pour améliorer l'habitat. Les autres sont gérés par des sociétés d'économie mixte ou des offices HLM.

Magali Gruet

©2006 20 minutes (édition du 19 décembre 2006)

NB : Contrairement à certaines idées reçues, la SIEMP ne gère pas tous les soucis d'insalubrité, comme on peut le lire dans ce fil de discussion de nos propres élus…

Pour connaître les arrondissement où se trouvent des logements de la SIEMP et le nombre de logements gérés par arrondissement, cliquer ICI.

Marchands de sommeil…

1 100 € les 12 M2 rue de la Mare

Sur son blogue « Paris perdu », qui rappelle une certaine vision parfois désuète de l'Est parisien, un Paris qui semble dépassé par les « avancées de la modernité », Pierre Barreteau consacre une rubrique au 20e arrondissement.

Soudain, le 15 décembre, alors que le froid nous saisit subitement, il nous décrit une terrible réalité dans un immeuble situé rue de la Mare.

Inqualifiable au 21e siècle !

Le maire du 19e soutient la famille Raba

Cette famille kosovare a été expulsée dans des conditions troubles

L'élu socialiste Roger Madec, maire du 19e arrondissement et sénateur de Paris, fait partie des personnalités ayant signé l'appel à la consitution d'un comité pour la protection et le retour de la famille Raba en France. Il a ainsi suivi l'appel lancé début décembre par des personnalités et des élus de la région Rhône-Alpes, où résidait cette famille kosovare. Une expulsion qui semble avoir eu lieu dans des conditions plutôt mouvementées.

Le 6 décembre dernier, jour de la Saint-Nicolas, Jusuj et Shpresa Raba et leurs trois enfants (Qerim, 7 ans, Dashnor, 4 ans et Dashroje, 3 ans) ont été expulsés sur décision du ministère de l'Intérieur. La reconduite de cette famille, en France depuis 2001, à laquelle l'Office français pour la protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) avait refusé le statut de réfugié malgré les violences et les menaces subies au Kosovo, a donné lieu à un déploiement de moyens extraordinaire et à des actes de brutalité inacceptables, selon le Réseau éducation sans frontières (RESF).

Cette expulsion avait été particulièrement mouvementée, après vingt jours d'attente et des soucis tant à Lyon qu'à Paris, ce que dénoncent les personnalités (dont Roger Madec et d'autres élus parisiens) signataires de l'appel.

Selon diverses sources, des passagers ont été molestés et placés en garde à vue parce qu’ils protestaient lors d’un transfert de la famille de Lyon à Paris. A Roissy, la mère, qui se débattait, a été traînée vers un avion et blessée sous les yeux des ses enfants et de son mari (ligoté et bâilloné). L’expulsion ayant échoué, la famille a été ramenée à Lyon. Il a ensuite fallu un transport très discret de Lyon à Toulouse, un avion spécial affrété par l’Etat et une escorte de quinze personnes dont dix policiers pour conduire la famille d’abord à Tirana (Albanie) puis, 24 heures plus tard au Kosovo, à Orahovac où leur vie et celle de leurs enfants sont menacées (la mère aurait été victime d'un viol).

Les signataires de cet appel sollennel

• « protestent contre les missions qui sont confiées aux forces de police, les pratiques utilisées (mensonges dits à la famille pour les emmener à Paris le 2 décembre -pas de juge à Lyon- et non respect de la décision de justice du 5 décembre -par ailleurs contestable-), le gaspillage des moyens mis au service d’une politique inhumaine et les traumatismes infligés non seulement aux victimes, mais à ceux qui les entourent et à l’ensemble du corps social ;

• « s’étonnent que ce couple n’ait pas été régularisé, d’abord à l’occasion de sa demande d’asile (alors même que plusieurs membres de la famille, dont le frère de Jusup arrivé en même temps et dans les mêmes conditions, ont obtenu le statut de réfugié), ensuite dans le cadre de la circulaire du 13 juin 2006 (dont ils remplissaient les critères) ;

• « demandent que la famille Raba rentre dans sa ville de Gray (Haute-Saône) où ses amis l’attendent, où leurs enseignants espèrent leurs élèves disparus, les enfants pleurent leurs copains ;

• « se déclarent, en attendant ce retour, particulièrement attentifs à ce que la sécurité de Jusuf et Shpresa Raba et des enfants soit assurée au Kosovo. Ils tiennent le ministre de l’Intérieur et ses collaborateurs pour responsables de ce qui pourrait arriver aux parents ou aux enfants ».

Pour avoir des nouvelles de la famille Raba, cliquer ICI.

Pour demander le rapatriement de la famille en france vous pouvez signer la pétition au bas de cette page.

Rappelons que, depuis juin 2006, M. Roger Madec soutient la candidature de Ségolène Royal. La députée des Deux-Sèvres, présidente de la Région Poitou-Charente et candidate soutenue par le Parti socialiste à l'élection présidentielle n'est pas signataire de l'appel. Pour l'instant.

Liste des premiers signataires :

Mouloud Aounit (Secrétaire général du MRAP), Gérard Aschieri (Secrétaire général de la FSU), Florence Aubenas (Journaliste), Clémentine Autain (Adjointe au Maire de Paris), Josiane Balasko (Comédienne), Emmanuelle Béart (Comédienne), Guy Bedos (Artiste), Bruno Benabar (Chanteur), Miguel Benasayag (Philosophe), Richard Béraud (Secrétaire général de la FERC-CGT), Charles Berling (Comédien), Didier Bernard (administrateur national FCPE), Olivier Besancenot (Porte-parole de la LCR), Martine Billard (députée - Les Verts), Nicole Borvo (Sénatrice - PCF), Michel Boujenah (Comédien), José Bové (Via Campesina), Patrick Braouezec (Député - PCF), Marie-George Buffet (Secrétaire nationale du PCF), Patrice Cohen-Seat (Secrétaire national du PCF), Annick Coupé (Porte-parole de l’Union syndicale SOLIDAIRES), Jean Desessard (Sénateur - Les Verts), Jean-Pierre Dubois (Président de la LDH), Nathalie Ferré (Présidente du GISTI), Guy Fischer (Vice-Président PCF du Sénat), Jean-Pierre Fournier (CNT), Mgr Jacques Gaillot (Evêque de Partenia), Laurent Giovannoni (Secrétaire général de la Cimade), Serge Guichard (Secrétaire national du PCF), Claude Hénon (co-secrétaire générale de la Fédération SUD Education), Anousheh Karvar (Secrétaire nationale de la CFDT), Bernard Kouchner (Ancien ministre et ancien administrateur civil du Kosovo), Arlette Laguiller (Porte-parole de Lutte Ouvrière), Jack Lang (Ancien ministre, qui a retiré sa candidature au profit de celle de Mme Royal), Valérie Lang (Comédienne), Christiane Levilly (ATTAC), Roger Madec (sénateur de Paris, maire du 19ème), Noël Mamère (Député - Les Verts), Philippe Mérieu (Professeur des Universités), Claude Miller (Cinéaste), Danielle Mitterrand, Richard Moyon (RESF), Patrice Muzard (RESF Gray), Yannick Noah (Chanteur), Mireille Peloux (RESF Lyon), Nathalie Perrin-Gilbert (Maire du 1er arrondissement de Lyon), Michel Rocard (Ancien Premier ministre), Patrice Salzenstein (RESF Franche-Comté), Odile Schwertz-Faurat (Présidente de la FASTI), Catherine Tasca (Ancienne ministre), Christiane Taubira (Députée de la Guyane - MRG, qui a retiré sa candidature au profit de celle de Mme Royal), Bertrand Tavernier (Cinéaste), Catherine Tourier (RESF Lyon), Yannick Trigance (Délégué National PS à l'éducation), Dominique Voynet (Sénatrice de Seine Saint-Denis - Les Verts).

19e : appel à témoins

Un jeune homme est mort

Suite à un accident mortel de la circulation survenu le 8 décembre dans le 19e arrondissement, le bureau central des accidents rechrche des éventuels témoins.

Il était environ 15 heures lorsqu'un homme de trente-trois ans qui circulait sur un scooter de couleur rouge a trouvé la mort route des Petits-Ponts, à l'angle de la rue Scandicci.

Selon les premiers éléments, il aurait percuté une voiture, qui aurait pris la fuite.

Afin de pouvoir corroborer cette hypothèse, faire avancer l'enquête et pouvoir rendre des comptes à la famille du défunt (dont on peut aisément comprendre le désarroi en cette période de fêtes des trois religions monothéistes), la police se tient à la disposition de tout éventuel témoin qui pourrait lui communiquer le moindre élément lui permettant d'identifier le responsable de l'accident (couleur de la voiture, éléments de la plaque minéralogique, nombre d'occupants du véhicule, etc…).

Tout renseignement est à communiquer directement au bureau chargé de l'enquête en composant directement le 01 44 08 62 70, numéro unique ouvert 24 h par jour.

Il ne s'agit avant tout d'un acte citoyen !

Un camp de tentes pour sensibiliser au sort des SDF

Sensibiliser les Français - ou au moins les Parisiens - au sort des sans-logis en les invitant à vivre une nuit ou plus comme eux : telle est l'ambition de l'association Les Enfants de Don Quichotte, qui a installé ce week-end une centaine de petites tentes rouges et noires frappées des lettres SDF peintes en blanc le long du canal Saint-Martin, dans le Xe arrondissement de la capitale.

A l'origine de cette opération, Augustin Legrand, 31 ans, ancien comédien aujourd'hui porte-parole de l'association, a précisé dimanche à l'Associated Press que 150 personnes étaient présentes sur les quais de Jemmapes et de Valmy pour passer une nuit ou davantage sous la tente. Selon lui, il restait « une cinquantaine de tentes d'amis » à monter en direction de l'écluse de République.

« Les gens qui veulent nous rejoindre doivent prévoir des vêtements chauds, des duvets, des couvertures, une tente s'il en ont une, de quoi manger aussi mais surtout pas d'alcool », ajoutait-il, encouragé dans son action par le comédien Jean Rochefort, venu dire sur les berges du canal parisien qu'il est « inacceptable aujourd'hui que rien ne soit fait contre la misère ».

Augustin Legrand, intermittent du spectacle à présent au RMI (revenu minimum d'insertion), se donnait « deux trois jours pour agir » après l'installation des premières tentes samedi midi. Si plusieurs dizaines de personnes, pour la plupart des sans-domicile fixe (SDF), ont rapidement rejoint ces abris de fortune, les centaines de riverains attendus n'étaient pas au rendez-vous.

Des CRS ont bien été dépêchés sur les lieux samedi pour prévenir d'éventuels troubles, mais le calme du campement et l'organisation des Enfants de Don Quichotte, basés au 82 quai de Jemmapes, les ont dissuadés d'intervenir. Une évacuation forcée n'était toutefois pas exclue par l'association avant la fin de l'année.

Les organisateurs, qui comptent sur la couverture médiatique pour installer leur action dans la durée, tablent sur une mobilisation de 300 personnes dans les prochains jours, voire 1.000-1.500 personnes à moyen terme, ce qui permettrait de « toucher l'ensemble de la population française ».

« A ce moment-là, on s'occupera vraiment de ces gens qui dorment dehors aujourd'hui et qui sont en train de mourir devant nous », a expliqué Augustin Legrand sur France Info, réitérant son « appel solidaire aux Français bien-logés à venir donner une nuit ou deux de leur temps pour les SDF ».

Ainsi qu'en témoigne Marco, « campeur solidaire » venu passer la nuit de samedi à dimanche quai de Jemmapes avec un sac de couchage trop léger pour le froid parisien : « C'est dur mais pas impossible, et pour eux (les SDF) c'est tellement important [...] Une nuit, quand ils en vivent 365 par an, ça n'est rien et si on se relaie spontanément on peut vraiment aider ! »…

Au-delà de cette sensibilisation, Les Enfants de Don Quichotte entendent « montrer aux Français la défaillance de l'Etat dans son rôle de garant des "moyens convenables d'existence" » prévus par la Constitution et inciter SDF et bien-logés à exiger « l'application du droit à une vie décente pour tous sur le territoire français », comme le précise la « charte citoyenne » de l'association.

« Il faut un toit adapté pour tous ces gens-là, pas des centres d'urgence qui ne sont pas adaptés », plaide Augustin Legrand, qui a lui-même passé six semaines dans la rue par solidarité. « Un centre d'hébergement d'urgence, ce n'est pas un domicile: ce sont des horaires fixes et il y a beaucoup d'insécurité. Les gens préfèrent dormir dehors plutôt que dans les centres, il y a des raisons. »

Associated Press (17/12/2006 18h37)

Les Petits frères des Pauvres ont 50 ans

L’occasion d’un Noël généreux

L’association reconnue d’utilité publique, dont le siège social est dans le 11e arrondissement, fête cette année ses cinquante ans… âge à partir duquel les personnes les plus isolées ou démunies peuvent se tourner vers elle…

Association remplissant tous les critères pour être reconnue d'utilité publique, créée en 1946, attributaire du label Grande Cause Nationale en 1996 et en 2004, les petits frères des Pauvres accompagnent des personnes souffrant d'isolement, de pauvreté matérielle, de précarités multiples et interviennent en priorité auprès des personnes de plus de cinquante ans. Pour retrouver la Charte et le projet associatif 2004-2009, cliquer ICI.

Sur l’Est parisien (1er, 2ème, 3ème, 4ème, 10ème, 11ème, 12ème, 19ème et 20ème arrondissements), il est prévu de recevoir environ 300 invités en cette année de 60e anniversaire, au local du 11 rue Léchevin (11e - Tél. : 01 43 55 31 61). Le 24 décembre, dans l’après-midi, des bénévoles interviendront également à l’hôpital Saint-Antoine, en médecine interne et en gériatrie, afin de redonner le sourire aux personnes hospitalisées, en leur portant une orchidée et es friandises (l’an passé, deux bénévoles s’étaient occupé de 24 malades, à la plus grande satisfaction des équipes soignantes).

Les bénévoles souhaitant s’associer dans notre secteur à ses opérations peuvent téléphoner à l’association ou prendre contact par courriel à l’adresse [email protected]

Pour tout savoir sur l’ensemble des actions menées par Les petits frères des pauvres, cliquer ICI.

Une enquête sur l’isolement et la vie relationnelle (publiée le 27 septembre dernier) est disponible ICI.

Noël n’étant pas pour cette association une fête uniquement chrétienne (et ce depuis les années 60), les actions 2006 et le dossier illustré récapitulatif des dernières décennies se trouve là.

D’autant que cette année, la fête juive de Hanouccah (Fête des lumières), qui marque la résistance du peuple hébreu à l’empire grec, a commencé le 15 décembre à la tombée du soleil. Elle dure huit jours. Du côté musulman, la fête de l’Aïd Al Adhadoit commencer en France le 30 ou le 31 décembre…

Siège Social :
Les petits frères des Pauvres
33 et 64, avenue Parmentier
75011 Paris
Tél. : 01 49 23 13 00

Assises de la Citoyenneté

Informer les jeunes du 19e et les inciter à s’engager dans la vie locale

Ce samedi 16 décembre 2006, de 12h00 à 22h00, à la Mairie du 19ème arrondissement, se déroulent les Assises de la citoyenneté.

Regroupant dans un même lieu les associations et les structures de l’engagement citoyen présentes dans le 19ème arrondissement, les Assises de la citoyenneté constituent un moment privilégié pour connaître facilement les moyens qui s’offrent aux jeunes pour s’engager dans la vie locale.

Cette journée est un lieu consacré à la création artistique et au débat. En marge des stands, différents événements sont programmés. Le programme complet, publié sur le site de la mairie d'arrondissement, se trouve ICI.

Le Centre social de Belleville est associé à cette journée.

Il est aussi question d'inciter les jeunes de l'arrondissement à s'inscrire sur les listes électorales. Il ne faut pas oublier que, cette année, le 31 décembre est un dimanche. Par conséquent, la clôture des listes électorales se fait le 30 décembre !