L'ex-épouse de Nicolas Sarkozy, Cécilia, a assigné mardi en référé le magazine Closer pour atteinte à sa vie privée et à son droit à l'image, a-t-on appris mercredi auprès de son avocat, confirmant une information du Point.fr.
L'assignation doit être examinée par le tribunal de grande instance (TGI) de Nanterre (Hauts-de-Seine) vendredi à 15h30, a indiqué le cabinet de Me Jean-Yves Dupeux.
Cécilia Ciganer-Albeniz demande l'interdiction de l'utilisation de photos la montrant en maillot de bain en couverture du magazine daté du 21 janvier et réclame notamment 250 000 euros en provision de dommages et intérêts. Dans son édition du 21 janvier, le magazine montre des photos en maillot de bain de Cécilia et de Carla Bruni, nouvelle compagne du président.
Selon l'avocat de Cécilia, le magazine ne lui a pas demandé l'autorisation de publier cette photo qu'elle a découverte en kiosque le jour de sa sortie. La société Mondadori, éditrice du magazine Closer, a déjà été condamnée le 20 décembre par le TGI de Nanterre à verser 12 000 euros de dommages et intérêts à la journaliste Laurence Ferrari pour avoir fait état de rumeurs lui prêtant une relation avec le président de la République Nicolas Sarkozy.
AFP
⇒ Pendant ce temps, Carla Bruni Tedeschi pose nue pour un magazine espagnol daté de février. Et, si hier elle disait ne pas se rendre en Inde, la presse indienne faisait les choux gras du gratuit 20 Minutes, qui titrait ce matin « Un rabbit au curry pour Bruni » pour sa revue de presse indienne. Pour les hispanophones, le sujet de El Mundo est ici.
⇒ Cécilia et rachida conseillères pour Isabelle Adjani.
⇒ Le blogue des salariés (en cours de licenciement) du Pôle Passion de Mondadori France, éditeur de Closer.
ouais, ben, pas trop vite la plainte...
jugement vendredi soir...samedi matin, on vend les quelques uns qui restent...et hop ! 6 jours de vente !
les sous-sous dans la popoche !
Rédigé par : l'affreuse UMP | 24/01/2008 à 00h39
En droit français existe le "référé d'heure à heure" qui, s'il avait été mis en branle, aurait permis une décision entre lundi soir et mercredi midi.
Là, claro que si : elle veut des sous. Etre conseillère ponctuelle de Isabelle Adjani, peut-être que c'est mal (ou pas) payé… en tout cas ce n'est pas une fin en soi.
Mais le comparatif Clara/Cécilia tourne à l'avantage de l'Italienne, celle qui, voici encore très peu de temps, disait du mal de la France et des Français, expliquait qu'elle était italienne, que les Italiens était vachement plus beaux et sympas que les Français, et qui disait de Nicolas Sarkozy qu'il était petit et ne lui plaisait pas. Elle le comparaissait à Napoléon et je ne sais plus qui.
Souvent femme varie, bien fol est qui s'y fie !
Rédigé par : Fabien | 24/01/2008 à 07h08
les femmes varient ! alors les garçons, vous avez un ambassadeur de choc avec Nicolas ; un jour, il soutient qu'il s'engage dans la campagne des municipales et deux jours plus tard, il soutient "mordicus" le contraire... !! dans le genre girouette : l'exemple est parfait ! Bisounette non variable
Rédigé par : bisounette | 24/01/2008 à 22h12
@Bisounette,
Erreur (ou omission), tu as loupé l'éπisode du midi dont je te livre ci-dessous la version AFP. Un point à l'envers, un point à l'endroit, un point pour Saint-Joseph, un point pour Saint-Thomas…
Sarkozy veut "donner une dimension politique" aux municipales
PARIS (AFP) - Nicolas Sarkozy veut "donner une dimension politique" aux élections municipales qui se tiendront les 9 et 16 mars, a affirmé jeudi le porte-parole de l'Elysée, David Martinon, en démentant tout "désintérêt" du président de la République pour ces élections.
Le chef de l'Etat "ne se mêle pas des élections municipales dans le détail" parce que "ce n'est pas son rôle (...) Pour autant, il ne cesse de le montrer tous les jours, pour lui, les élections municipales sont politiques, bien sûr, avec des enjeux locaux", a affirmé M. Martinon, lors de son point de presse hebdomadaire.
"De toute manière, la lecture qu'en feront les Français au soir des municipales sera forcément politique et nationale. Donc le président entend donner une dimension politique à ces élections", a-t-il ajouté.
"A chaque fois qu'il prend la parole pour dire tout le bien qu'il pense des initiatives en matière d'environnement" par exemple, "ou quand il évoque le grand Paris ou les questions d'urbanisme, ce sont des manières de s'impliquer dans la campagne", a-t-il également affirmé.
Le président "fixe les thèmes de la campagne des municipales", a insisté M. Martinon.
Mardi, lors d'un déplacement à Pau, M. Sarkozy avait semblé prendre du recul par rapport à ce scrutin, en expliquant qu'il n'entendait pas se "mêler du détail des municipales dans chacune des villes de France. Ce n'est pas mon travail", avait-il dit.
Il ne faut pas voir dans ces déclarations le "signe d'un désintérêt", a affirmé jeudi M. Martinon. "Ce n'est absolument pas le cas", a-t-il ajouté.
La question des municipales a été abordée jeudi matin par le chef de l'Etat et les dirigeants de la majorité, qu'il a reçu pour un petit déjeuner, comme il le fait une fois par mois.
AFP - Jeudi 24 janvier, 14h33
Rédigé par : Fabien | 25/01/2008 à 08h28