Dorénavant, les commentaires seront validés avant publication
En neuf mois d’existence et avec la publication de près de 900 notes, le blogue Ménilmontant, mais oui madame… fait parfois l’objet de commentaires intempestifs.
Si certains sujets ne sont absolument pas commentés, d’autres le sont abondamment, parfois de façon constructive et/ou complémentaire, ce pourquoi je remercie les lecteurs de plus en plus nombreux (une note de statistiques sera prochainement publiée), parfois à tort et à travers. Ainsi, plus de 800 commentaires ont été publiés à ce jour.
Afin d’éviter les pourriels, j’avais installé dès le début un système de validation par l’auteur du commentaire. Mais une surveillance de tous les instants n’est pas possible.
Ayant reçu hier après-midi un commentaire en provenance de province pour se plaindre de l’installation d’un camp de gens du voyage, et ce matin un autre me signalant la disparition d’un animal, je les ai supprimés. Je me vois donc, à mon grand regret, contraint désormais de modérer les commentaires.
Ils ne seront donc publiés qu’après validation. Ce en respect :
• de la ligne éditoriale du blogue ;
• de la loi du 29 juillet 1881 sur la presse ;
• des règles élémentaires de la nétiquette.
Je vous demanderai également de bien vouloir mettre des adresses courriel valides, afin de pouvoir expliquer à l'auteur d'un commentaire pourquoi je ne le publie pas.
Pour toutes et tous, je suis désolé d'en arriver là.
Le ouaibemaître
Merci d'être passé nous dire bonjour.
Fait toujours beau à Toulouse malgré les actus politiques pourries.
cordialement,
pour http://www.viatolosa.net/
Christophe Cavaillès
Rédigé par : viatolosa.net | 25/08/2007 à 19h41
Tu parle de la loi du 29 juillet 1881 sur la presse j'ai été voir je vois pas le rapport avec Internet cela serait bien que tu fasses un article sur ce sujet-là.
bisous
grenouille 13
Rédigé par : grenouille13 | 08/06/2008 à 14h07
Je suis désolé, mais c'est ainsi. Tout ce qui est écrit est attaquable (en France pour une durée de trois mois), comme si c'était sur du papier.
Autant on fabrique des lois, autant on crie au loup lorsqu'un mariage est annulé sur le fondement d'un article du code civil, avant même que de voir que cet article a été modifié en 2006, autant la loi de 1881, pour l'instant, ne tient pas encore compte d'Internet SUR LE PAPIER, mais les poursuites sont fréquentes.
Je suis responsable légal de ce qui est publié chez moi.
Si je dis à quelqu'un « casse-toi, pauv'con » et que ce n'est pas dans un certain contexte faisant référence à un événement relatif à des propos tenus par le président de la République, il peut me poursuivre pour "injure", car plus de trois personnes auront été là (plus de trois cent à cette heure).
Je ne disais pas cela pour les Marseillais(e)s qui sont les bienvenu(e)s.
Bises
Rédigé par : Fabien | 08/06/2008 à 15h41
Je voudrais savoir si tu asssigne qq pour "injure" le 2 mai alors que les fait ne sont plus mais qui l'on été le 24 avril cela est possible ?
Bisous d'une marseillaise enfin pas à 100% lol
Rédigé par : grenouille13 | 09/06/2008 à 10h51
Les poursuites prévues par la loi sont là :
http://www.lexinter.net/lois/des_poursuites_et_de_la_repression.htm
le délai de prescription est de trois mois après publication.
Rédigé par : Fabien | 09/06/2008 à 16h32
Je fais suite à votre commentaire laissé sur mon blog. J'ai effectivement pris connaissance de vos billets. Effectivement, nous sommes responsables des commentaires laissés sur nos blogs (c'est le web2.0 je crois). Il me semble également que le délai de prescription de 3 mois est en train d'être augmenté…
Mais la question posée était de savoir si M. de Filippis était passible de prison ou pas (dans la négative , cela rend son traitement scandaleux). Vous avez indiqué sur le site de Gille Devers que pour des faits similaires, vous aviez subi une peine de prison de quelques semaines. Ce qui contredit les déclarations de l'avocat de Libé.
Mais il est possible que la loi ait changé…
A mon avis, nous devrions en savoir plus d'ici quelques jours.
Cordialement
elmone
Rédigé par : elmone | 01/12/2008 à 16h03
Je n'ai pas « subi » : j'ai été « condamné à » (en 1989) une peine prononcée après une amnistie présidentielle et inférieure à la durée maximale, nuance. Ce qui était anormal dans cette affaire était que le journal papier dans lequel j'écrivais (en 1986) n'était pas poursuivi par cette personne, alors que pour toutes les autres poursuites, le journal et moi étions innocentés, pour les mêmes faits, au motif de la « bonne foi » (sérieux de l'enquête journalistique).
Je viens d'apprendre que la loi a été modifiée en 2000 et que la peine de prison n'existe plus que si la diffamation est doublée de racisme ; elle n'est plus d'un mois, mais d'un an.
Sur le délai de prescription, il y a cette note :
http://menilmontant.numeriblog.fr/mon_weblog/2008/11/le-snat-allonge.html
en attendant validation…
Rédigé par : Fabien | 01/12/2008 à 16h17