…ou de l’Institut CSA et ses dirigeants
Guy Birenbaum était lundi l’un des invités du Café du Commerce auquel je participais bénévolement, émission de la chaîne de télévision parisienne du patron de presse qui s’est séparé de moi voici vingt ans, Paris Cap’.
Guy Birenbaum, ancien enseignant en sciences politiques à Montpellier et futur chômeur (il quitte les éditions Privé en juillet, maison qu’il a montée en 2004 et où il était actionnaire majoritaire), a publié lundi matin, sous le titre « CSA : Chiffres Sévèrement Approximatifs ! » ce qui suit…
« Non, non, on s'est pas trompés. On enregistre des mouvements ». Roland Cayrol, de CSA (France 3, 23h22)
Il n'y a donc pas eu de vague bleue. Pas le moindre tsunami à l'horizon. Et la plupart des commentateurs et sondeurs ne l'ont pas vue venir la "non vague" !
Mais, tout de même, au soir du premier tour, le dimanche 10 juin, il y a un institut de sondages qui s'est tout particulièrement "distingué". Cet institut c'est CSA.
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