Le réseau social Facebook, qui prend depuis début septembre le risque d’exposer la vie privée de ses utilisateurs a créé un groupe intitulé « on bosse dans la com' et on est bien informé sur Nicolas et Cécilia », qui a annoncé ce jour le divorce du couple présidentiel.
L'épouse du chef de l'Etat n'a plus été vue publiquement depuis les obsèques lyonnaises, le 20 septembre, de son ancien mari, Jacques Martin, où elle accompagnait ses deux filles, dont la dernière était juste après avec son futur fiancé Gurvan Rallon, président du club œnologique de l’Ecole des Mines de Paris en voyage à La Réunion, d'où le jeune homme est originaire.
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« Le 18 septembre 1984, les Martin reçoivent les Sarkozy. Cécilia tient Judith, née le 22 août. Sur les genoux de sa mère, Marie-Dominique, Pierre Sarkozy, né le 24 août », indiquait Paris-Match le 19 septembre 2007.
Cécilia Sarkozy (à gauche sur la photo en compagnie de son époux de l'époque) ne s’est pas montrée en public depuis les obsèques de Jacques Martin. Elle est enfin rentrée de son escapade helvète et a été vue cet après-midi dans une artère très fréquentée de Paris, a indiqué radio Sarko Europe 1, sans toutefois parler de son « exil » suisse.
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Lors des vacances américaines du couple présidentiel, Nicolas Sarkozy, père de deux grands garçons majeurs (Pierre et Jean, dont la comparution au tribunal est fixée au 4 décembre) et d’un mineur conçu avec Cécilia Ciganer Albéniz, avait présenté à la presse Gurvan Rallon comme son
futur gendre.
Le site Internet de La Tribune, en parlant de l’annonce de ce divorce, a remarqué ce soir que L’Est républicain est « une fois de plus à la pointe de l'info ». Outre le fait d’avoir eu des journalistes comme Denis Robert (à l’origine de la révélation des affaires Clearstream), ce quotidien régional affilié au groupe EBRA avait, le 4 septembre, publié en exclusivité un entretien avec Mme Sarkozy sur les « infirmières bulgares ». Cette fois, L’Est républicain est encore allé à la chasse au scoop.
Dans son édition de ce matin, le quotidien titrait « Mme Sarkozy devrait témoigner », reprenant les propos de Pierre Moscovici.
Parent Solo, le site spécialisé dans les familles monoparentales ou recomposées, a consacré hier soir quatre lignes à cette probable séparation, annoncée également par La Tribune de Genève dans son dossier, qui indique même dans quel hôtel proche du Lac Léman Mme Sarkozy se trouvait encore avant-hier, à savoir le même que celui où elle se trouvait le soir du quart de finale France Nouvelle-Zélande de rugby, à Cardiff, où Nicolas Sarkozy était notamment accompagné par François Fillon, Roselyne Bachelot-Narquin et Rachida Dati (qui était l’invitée d’un « Vivement dimanche » un peu particulier le week-end dernier ; lire également ici).
Le porte-parole de l’Elysée, David Martinon, devait se marier (avec la magistrate Camille Weber) le 22 septembre à Arcachon, avec pour témoin de mariage Cécilia Sarkozy et parmi les invités la ministre de la Justice et le président de la République. Le mariage a été repoussé sine die, oficiellement à cause d'un rassemblement antinucléaire et altermondialiste au festival Peace and Landes, dont la deuxième édition était prévue de longue date (à La Teste de Buch, une commune voisine).
A. L.
tout s'explique ! :-))
http://fr.news.yahoo.com/delize/20071012/dessin/pen-pas-content-0c792e3-d6791b86e1f50.html
Rédigé par : l'horrible belle-mère | 12/10/2007 à 23h51
il parait que selon l'article 67 de la Constitution, le président de la République ne peut se trouver convoqué devant un tribunal, quel qu'il soit...donc même un tribunal civil...
il ne pourra pas divorcer ! ou alors faudra voir ça avec Jean Louis...
Rédigé par : l'affreuse UMP | 16/10/2007 à 07h39
Très précisément, l'Article 67 de la Constitution (qui est le premier article traitant de la Haute Cour) stipule :
« Le Président de la République n’est pas responsable des actes accomplis en cette qualité, sous réserve des dispositions des articles 53-2 et 68.
« Il ne peut, durant son mandat et devant aucune juridiction ou autorité administrative française, être requis de témoigner non plus que faire l’objet d’une action, d’un acte d’information, d’instruction ou de poursuite. Tout délai de prescription ou de forclusion est suspendu.
« Les instances et procédures auxquelles il est ainsi fait obstacle peuvent être reprises ou engagées contre lui à l’expiration d’un délai d’un mois suivant la cessation des fonctions. »
Donc - à mon humble avis mais je ne suis pas constitutionnaliste - un divorce est possible, à condition qu'il soit à l'amiable, et dans la nouvelle formule adoptée sous le quinquennat de M. Chirac, alors que M. Sarközy était à l'Intérieur. Dans ce cas, le susnommé n'est pas obligé de comparaître intuitu personae.
Mais, que je sache, la précédente épouse de notre actuel Chef de l'Etat avait opté pour la séparation de corps, partant s'installer en Corse, dans son village natal, avec ses deux garçons (dont un qui fait parler de lui… tout en séchant ses cours de théâtre). Rien n'empêche Cécilia d'en faire autant. L'UMP nous avait "vendu" le couple Sarko sous la formule fort simplifiée et simpliste du : « Vous avez aimé le couple Kennedy, vous adorerez le couple Sarkozy ! »
Dans le cas où Cécilia choisirait cette formule et que Nicolas souhaiterait en finir au plus vite, il lui suffirait soit de rester célibataire, soit de ne point briguer de deuxième mandat.
Alors, adorons ! Même si la vie privée du couple ne nous regarde pas, comme expliqué ici :
http://www.videohumour.net/video/696/Athletisme-Cela-ne-nous-regarde-pas.html
et ce, bien que tout ait été soigneusement mis en scène, y compris le passage au Congrès de l'UMP de l'enfant mineur du couple, le petit Louis !
Quant au « porte-silence » de l'Elysée, David Martinon, représenté sur la vidéo, il se trouve le postérieur installé entre deux chaises. Introduit par Cécilia, il est apprécié par Nicolas, au point que le Chef de l'Etat, pourtant officiellement au-dessus des partis, le présente à ses anciens électeurs banlieusards, au grand dam des élus locaux qui s'y voyaient…
Jean-Louis, s'il s'agit du président du Conseil constitutionnel, ferme les yeux sur un certain nombre de choses (par exemple l'élection du président sous un nom qui n'était pas celui inscrit sur l'acte de naissance initial…), mais je doute qu'il en fasse de même sur le mariage. Donc le divorce.
Ah… LA famille recomposée si bien montrée dans Match et autres organes… Le voyage en Guyane si bien filmé… Cela semble si loin !
Pour s'y retrouver dans les rapports entre les familles Sarkozy-Martin-Colonna (il ne faut pas l'oublier le berger corse chez qui un fils Sarkozy a fait un stage) ou, pour être plus exhaustif, Anne Fulda, une lecture, datée du 19 mai dernier s'impose :
http://libertesinternets.wordpress.com/2007/09/25/petit-trombinoscope-du-clan-sarkozymartin/
…et rappelle que, dès 2006, Cécilia ne se voyait pas en Première dame de France. Mais que je sache la majorité des Français n'a pas voté pour elle, et elle n'a pas non plus voté au second tour, préparant un aller-retour à Biarritz avec l'une de ses filles… (d'où son absence de toute la journée du 6 mai jusqu'à la réapparition nocturne Place de la Concorde, là où le jeune Sarkozy avait organisé la défaite de Jacques Chirac en 1988).
Mais la suite de l'intervention (ou des "no comments" de M. Martinon) est stupéfiante, concernant la visite d'Etat au Maroc. M VI vient de changer de gouvernement, le président français était invité. Lors d'une visite d'Etat, l'épouse existe dans le protocole, tant celle de Mohammed que celle de Cécilia. Le pire étant que celle de Mohammed s'intéresse de près à ce qui se passe en France (notamment pour les familles, puisqu'elle était venue un matin, voici quelques années, avec Mme Giscard d'Estaing visiter une crèche de sa Fondation).
Mais Cécilia ne semble pas goûter de ces choses-là. Que dire de plus ? Attendre et voir !
Rédigé par : Fabien | 16/10/2007 à 10h04