Suicide d'un gendarme
Ambiance morose dans les casernes de la garde républicaine à Paris. Le 5 avril, le corps de Stéphane Raffy, gendarme de 22 ans a été retrouvé dans son logement de fonction de la caserne Nouvelle France, rue du Faubourg Poissonnière (10e).
Il s'est tiré une balle dans la tête au retour d'un service de garde dans les palais nationaux. Quelques mois plus tôt, un premier signe avait donné l'alerte. Retrouvé ivre un soir, le gendarme s'était vu supprimer son autorisation de port d'arme et avait été affecté dans un mess d'officiers. « Raffy s'était plaint des conditions de travail à sa hiérarchie », explique un camarade. Avec l'autorisation des médecins, il venait de reprendre le service de garde des palais nationaux et son aptitude au port d'armes. « Un peu trop vite », estiment ses collègues.
S. C., « 20 Minutes » du 18 avril 2007
je tiens a preciser que l'information a ete publiée sans le consentement de la famille de stephane. j'etais sa petite amie. son suicide s'est deroule le 04 avril et ,non pas le 05, sous mes yeux. merci aux journalistes d'arreter de publier des informations erronnees
Rédigé par : france mansbendel | 26/06/2007 à 22h34
Toutes mes condoléances, c'était un mec bien.
Il avait ses défauts comme tous mais il ne faut pas lui retirer ses qualités, un mec gentil toujours pret a rendre service.
Bonne continuation derkou! :)
Rédigé par : Rien | 13/07/2007 à 19h40