Maintenant, c’est au tour des Verts
Dans la nuit de mardi à mercredi, le siège des Verts a été vandalisé à Paris (10e, rue du Faubourg Saint-Martin). Depuis fin janvier, au moins cinq locaux politiques ont fait l’objet d’actes de vandalisme, dont le local de l’un des candidats putatifs du 12e (8e circonscription, laissée vacante par Jean de Gaulle) Jean-Pierre Bechter, celui de la candidate UMP du 10e (5e circonscription) Lynda Asmani (toute proche du QG de campagne de Nicolas Sarkozy), et deux autres du PS (3e et 5e arrondissements).
Le maire de paris a publié de nombreux communiqués, parlant d’« attitude inacceptable », de « comportements inqualifiables » ou « d’autant plus inacceptables qu’ils sont commis dans un contexte où les Parisiens expriment légitimement l’exigence d’un débat de qualité, respectueux de la diversité des personnes et des idées ».
Selon la police, il existe « des similitudes dans au moins deux des affaires » : les inscriptions « a voté » ont été retrouvées sur les lieux, a expliqué une source proche de l'enquête. C'était le cas chez Les Verts.
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