De mauvaises conditions de travail pour la police…
Le rappeur Bruno Beausir, alias Doc Gyneco, dont le « petit maître à penser » est Nicolas Sarkozy, a passé quelques heures en cellule de dégrisement ce week-end, après avoir heurté un taxi alors qu'il conduisait son scooter en état d'ivresse. Le contrôle d'alcoolémie aurait révélé une dose d'alcool trois fois supérieure au maximum autorisé, selon la police.
Doc Gynéco, qui sortait d'une soirée bien arrosée au cours de laquelle il a bu un peu trop de rhum vieux (origines guadeloupéennes obligent…), selon ses déclarations dans « Le Parisien », a percuté en scooter, dans la nuit de samedi à dimanche, le taxi qu'il suivait et dans lequel se trouvait son amie, l'écrivain Christine Angot.
Le rappeur a passé la nuit en cellule de dégrisement au commissariat du 1er arrondissement, indique-t-on lundi. Il aurait été interrogé pendant quelques heures sous le régime de la garde à vue, avant d'être remis en liberté.
Le chanteur soupçonne le chauffeur de taxi d'avoir « freiné volontairement » pour le « faire chuter ». Le chauffeur de taxi assure de son coté avoir « insisté pour faire monter » Doc Gynéco dans le taxi, « car il avait vraiment l'air saoul, mais il a refusé ». Le choc n'a fait que quelques dégâts matériels et aucun blessé. Le parquet de Paris doit se prononcer sur les suites à donner à cette affaire.
A sa sortie du commissariat du 1er, le Doc aurait déclaré que les fonctionnaires de police du 1er arrondissement travaillaient dans de très mauvaises conditions et qu’il allait en parler à son ami le ministre de l’Intérieur. Sans vouloir souhaiter le moindre mal au chanteur, on peut espérer qu’il aura l’occasion de visiter l’actuel commissariat du 20e, où la police travaille dans des conditions exécrables… et n’arrive pas à se faire entendre.
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