Ménilmontant, mais oui madame...

René Bailly de retour aux renseignements parisiens

M. René Bailly, inspecteur général de la police nationale, a été installé mardi 2 juin au poste de directeur du renseignement de la préfecture de police de Paris (PP), indique la lettre hebdomadaire PPrama N°60 du 3 juin, éditée par le service communication de la PP. Cette nomination était attendue depuis la mi-avril.

Etrangement, depuis le 19 mai, l’annuaire du service public donnait déjà Maurice René Bailly, directeur des services actifs comme directeur de service. La Direction du renseignement, auparavant dénommée « direction des renseignements généraux de la préfecture de police, RGPP », fait partie des services actifs de la préfecture de police de Paris, au nombre de six.

M. Bailly remplace à ce poste M. Bruno Laffargue, nommé hors tour inspecteur général de l'administration, par ce décret du 7 mai. René Bailly est « un homme du renseignement qui a fait toute sa carrière entre les renseignements généraux de la préfecture de police et la direction centrale des renseignements généraux (DCRG) où il a été directeur régional à Marseille avant de devenir directeur central adjoint de la DCRG puis de la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), créée en 2008 », rappelle PPrama, comme l’avait indiqué Le Point lors de la réorganisation en 2008 des services de renseignement par Michèle Alliot-Marie et l’installation d’un « FBI à la française » tant souhaité par le ministre Sarkozy et réfuté par le président Chirac.

La DR-PP (ex-RGPP) compte environ 700 policiers parmi ses effectifs, indépendants des services de renseignement du territoire national. 

Pour mieux comprendre cette nomination, lire cette note sur le blogue généraliste de Philippe Madelin.

F. A.

Ce que masque la « crise automobile »

Crise automobile, licenciements massifs,
crise du productivisme, tels sont les sujets qui devraient être abordés ce mercredi 3 juin, à Ménilmontant, en compagnie d’une syndicaliste américaine de General Motors, Wendy Thompson, autour du thème global « Quel avenir pour les salarié(e)s et la planète ? ».

La crise automobile est un concentré de la crise économique et écologique. Comment sauver les emplois et la planète ? Un sujet d'actualité à débattre, dont la programmation était prévue juste avant que le président américain ne fasse officiellement l’annonce, lundi soir, heure de Paris, de la nationalisation de fait de General motors (GM), devenue « government motors », même si Barack Obama a affiché son ambition de désengager « rapidement » l’Etat fédéral.

C’est dans ce contexte qu’un débat est organisé ce mercredi 3 juin, de 18h à 20h, au café Le Lieu-dit, autour de la députée de Paris (Les Verts) Martine Billard et du porte-parole de Solidaires-Industries Robert Kosmann, avec Wendy Kosman, syndicaliste américaine… de GM, de passage à Paris. Dans cette édition du magazine socialiste indépendant fondé en 1949, Monthly Review (juillet 2008, en anglais), Wendy Thomson dressait l’état des lieux des grèves depuis l’automne 2007.

Un(e) représentant(e) du mouvement Utopia, qui milite pour une réduction des écarts de rémunération, est annoncé(e) sous réserves.

Un débat concret pour celles et ceux qui pensent qu'il est utile de combiner les luttes sociales et les luttes écologistes.

è Le Lieu-dit, 6, rue Sorbier (20e), métro Ménilmontant (ligne2), bus 96 (arrêt Henri-Chevreau). Attention : cette rencontre n’est pas mentionnée au programme de juin

è Entre crise économique et crise écologique: L'industrie automobile a-t-elle encore un avenir ? (Ligue communiste révolutionnaire, Belgique)

è Automobile : le crash (le dossier de l'Usine nouvelle, régulièrement mis à jour)

Besson à Belleville : un nouveau couac

La visite du ministre de l’Immigration au café social Ayyem Zayem (« le temps jadis », en arabe), n’a pas plu aux élus parisiens, qui n’ont pas été informés. Et Pascale Boistard, qui détient la délégation à l'Intégration, l’a fait savoir hier soir par voie de communiqué.

C’est dans cet endroit assez méconnu de la rue de Pali-Kao, dans le bas Belleville, qu’a débarqué sans crier gare mercredi matin Eric Besson, le ministre de l’Immigration. Ouvert en janvier 2003 (l’association dont il dépend a été créée en mai 2000), l’Ayyem Zayem est le premier café social parisien. Dans cet entretien publié à l’été 2004, le président de l’association, le sociologue Moncef Labidi, expliquait le type de population fréquentant l’établissement.

Ce lieu social de l’Est parisien, comme les deux autres qui ont éclos depuis dans la ville, sont cofinancés par Paris, à hauteur de 140 000 € par an. Et la visite ministérielle — sans prévenir la Ville — a semé le trouble au cabinet de Pascale Boistard, élue du 11e arrondissement et adjointe de Bertrand Delanoë en charge de l’Intégration et des étrangers non communautaires. D’autant que la Ville de Paris prévoit l’ouverture (donc le financement) de deux autres cafés de ce type à l’horizon 2014 (échéance de l’actuelle mandature). « Nous regrettons que le Ministre n’ait pas jugé opportun de prévenir les élus parisiens de sa venue comme l’exige la politesse républicaine de notre pays », écrit Mme Boistard dans ce communiqué qui, sous forme d’appel du pied, dit en substance au ministre que si les thématiques liées à l’immigration l’intéressent tant, les financements ministériels sont les bienvenus. « Au-delà du signe symbolique de la visite du Ministre de l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale et du développement solidaire, nous souhaitons que l’engagement de l’Etat, par la contribution financière de l’agence pour la cohésion sociale et l’égalité des chances (ACSE) à ces projets, soit confirmé dans les meilleurs délais », conclut l’adjointe au maire.

Il s’agit du deuxième couac officiel du mois entre la Ville et le ministre. Au début du mois, le maire avait refusé de dîner chez le ministre. Puis on avait pu voir, au travers du compte-rendu ministériel du dîner boudé par Bertrand Delanoë, l’étrange conception de la « communauté nationale » qu’avait Eric Besson dans le choix de ses invités.

Le voici maintenant qui s’invite…

F. A., cliquer ici pour visionner sept photos de Laurent Chamussy (Sipa) diffusées sur le twitter de fotoglif

è Les chibanis, ces anciens émigrés (El Watan, 26 août 2004)

è Un lieu à l’écoute des immigrés vieillissants (Africultures, novembre 2006)

è Le site de l’Ayyam Zayem

Relais à lire sur Rue89.com (à 11h50)

Itinéraire d’un flic français, débat ce soir avec Mohamed Douhane

Après dix-sept ans de vie de flic, dont sept au bureau national du syndicat Synergie (officiers de police CFE CGC), Mohamed Douhane a publié, en avril dernier, Les tabous de la police itinéraire d'un flic français (Bourin, coll. Documents, prix France : 19€TTC).

Ce premier ouvrage est un témoignage rare, qui met en lumière la vie et le parcours d'un flic « issu de l'immigration », dont la famille s’était installée dans l’Isère. Officier atypique, il aborde des sujets sensibles comme la délinquance des mineurs, les violences urbaines, la prévention de la criminalité, ou les limites de l'action policière, parfois bien loin des discours des marchands d'illusions et des postures politiciennes habituelles.

Depuis la sortie de son livre, il a fait la tournée des médias. Notamment le 20 avril sur France 5 (C à dire), le 21 sur BFMTV (journal de Ruth Elkrief), le 22 à La Matinale de Jean-Jacques Bourdin, sur RMC Info, le jeudi 23 avril chez Valérie Expert (On en parle, LCI), et le 25 chez Dominique Souchier (C’est arrivé cette semaine, Europe 1).  Plus léger, il était il y a une huitaine de jours à RTL, aux Grosses têtes…

Ce soir, à 19h30, Anne-Marie Engler organise une rencontre avec Mohamed Douhane chez Christophe Moulin, au Gai Moulin (métro Hôtel-de-Ville), dans le cadre des Cafés d’Annecom. Pour en savoir plus, cliquer ici.

Fête des marchés : faites des photos et gagnez des cadeaux

Cette année, la fête des marchés parisiens aura lieu du 5 au 12 juin. A cette occasion la Ville de Paris organise, du 20 mai au 30 juin, un concours de photos (dont le règlement est ici) ouvert à tous (à part une légère restriction concernant certains agents de la Ville et leur famille), et les lots là.

Fruits, légumes, vêtements, oiseaux, fleurs, commerçants, étals… Les sujets sont multiples sur les marchés parisiens. Un jury, composé de professionnels de la photo, d’élus et de commerçants, se réunira début juillet (théoriquement le 7). Les clichés peuvent être déposés jusqu’au 30 juin à minuit. Les meilleurs seront récompensés par des stages photos dans le Var, des appareils numériques, des livres, des laissez-passer pour la Maison européenne de la photographie (MEP) …

Avec les travaux d’extension du tramway T3, le marché Davout, dans le 20^e arrondissement, est présentement déplacé rue Mendelssohn. A la jonction des 12e et 20e arrondissements, le secteur de la Porte de Vincennes doit évoluer comme ceci.

Pour participer au concours, cliquer ici.

Sciences sur Seine : cinquième édition

En partenariat avec France Inter, lemonde.fr, et le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) la Ville de Paris propose pour la cinquième fois, du 26 au 31 mai, le festival Sciences sur Seine. Au programme : six jours de festivités scientifiques gratuites avec des animations, expositions, spectacles, promenades…

L'occasion, indique le portail Education du site de la Ville, de « découvrir l'univers scientifique de façon ludique, de développer la curiosité du public et son goût pour les sciences et de découvrir les métiers de la recherche ». Une occasion aussi de découvrir Paris sous un autre angle, et de réfléchir au monde qui nous entoure, comme le respect de la vie privée.

La science sous diverses formes investira ainsi divers arrondissements et « lieux de proximité » parisiens. Rues, cafés, salles de spectacles, centres sociaux, squares, jardins publics mais aussi établissements scolaires, centres d’animations et centre de loisirs accueilleront gratuitement les plus curieux pour leur faire découvrir les sciences et le patrimoine scientifique parisien. Au total, une cinquantaine de manifestations sont proposées au public. Outre une nuit d’observation du ciel (au parc Montsouris), une soirée de projection de courts-métrages scientifiques (au parvis de l’Hôtel de Ville), deux grands débats publics (au cloître des Cordeliers), le 10e Salon des jeux mathématiques (place Saint-Sulpice), le public, par petits groupes, pourra faire des promenades pour découvrir la géologie de la ville. Retardée d’une douzaine de jours par rapport à l’édition 2008 (qui avait commencé avant la mi-mai), cette cinquième édition chevauchera de quelques jours Futur en Seine, la première fête francilienne du numérique.

La plaquette de Sciences sur Seine est à télécharger ici (16 pages illustrées), le calendrier est à lire là. Ces manifestations sont gratuites.

Une réservation est demandée dans certains cas (les précisions et contacts figurent sur la plaquette), notamment lorsque les groupes sont limités à vingt personnes. Parmi les promenades géologiques, on notera pour le 27 mai au matin la découverte des Buttes-Chaumont et de leurs alentours (Une carrière de gypse à Paris, dans le 19e arrondissement, ce genre de promenades s'étalant parfois jusqu'au métro Ménilmontant, mais une simple matinée, dans ce cas, ne le permet pas…), organisée par la société géologique de France (SGF), sur réservation par téléphone ou courriel comme toutes les promenades géologiques auprès de la SGF. La même SGF organise l'après-midi du 27 une découverte de la Coulée verte, dans le 12e arrondissement.

Parmi les grands débats, le 29 mai au soir, animé par un journaliste de France Inter, l’un au thème d’actualité « Sécurité ou vie privée : a-t-on le choix ? », portant qur l’atteinte à la vie privée, via les téléphones portables, les cartes de paiement ou de déplacement et toutes les autres technologies numériques qui, de l’identification et par la localisation, envahissent notre quotidien.

Cette année, cette manifestation est parrainée par Wendelin Werner (de l’université de Paris-sud), qui a été honoré de la médaille Fields 2006, devenant ainsi le neuvième Français à obtenir l’équivalent du prix Nobel de mathématiques ; né en 1968 en Allemagne, il a en effet obtenu la nationalité française à l’âge de neuf ans. Le mot du parrain du festival est à découvrir ici.

F. A.

è La lettre ouverte au président de la République de Wendelin Werner (parue en février 2009 dans Le Monde opinions)

è Les sous-sols parisiens et leur géologie (source : Ville de Paris)

En direct du 20e

Le conseil d’arrondissement du 20^e de ce lundi 4 mai est diffusé en direct sur Internet à partir de 19 heures. Une expérience « pilote », affirme la mairie du 20e, qui avait eu lieu voici quatre ans dans le 18e arrondissement.

Une expérience « pilote pour tester la retransmission des conseils d'arrondissement »  qui, précise le site de la mairie, « sera étendue » aux autres mairies d’arrondissement de la ville. Sur ZDNet, toutefois, en février 2007, il était précisé que le 18e arrondissement s'était mis au Net en 2005.

A l’issue des diverses délibérations, au nombre de treize (huit avec débat et cinq sans), trois vœux doivent être formulés, dont un, par le groupe « Le 20^e avant tout » (dits « élus de l’opposition »), relatif à l’implantation d’un parking public au cœur de l’arrondissement. Depuis le 27 avril, en effet, la plupart des emplacements de stationnement sont devenus payants.

Pour suivre la séance, cliquer ici.

Les képis se font des copains

«Avec eux, on s'amuse plus qu'au centre aéré.» Lucie, blondinette de 13 ans, en est tout étonnée.  «Eux», les policiers, sont «bien plus sympas qu'on le croyait» : «On a plutôt l'habitude de les voir arrêter les gens dans la rue…» Avec quelques copines de son quartier, près de République, la collégienne s'est inscrite à l'opération Ville Vie Vacances.

Organisée par la préfecture de police de Paris depuis plusieurs années pendant les vacances scolaires, elle vise à créer du lien entre les agents et les jeunes des quartiers défavorisés. Et ça marche. «Ceux qui avaient de nous uniquement une image répressive voient, à travers cette action, qu'on est accessibles, résume Erick Duthoit, îlotier dans le 2e arrondissement et volontaire depuis huit ans. Et si on les croise dans la rue, c'est plus calme en cas de pépin.»

Au programme : des activités sportives encadrées par les policiers, foot, basket, badminton ou encore rugby. Demain, un petit groupe de jeunes aura même droit à un entraînement au stade Jean-Bouin avec, en guest star, un joueur du Stade Français. Hier, l’ambiance était plus culturelle. Les jeunes, âgés de 6 à 17 ans, assistaient à une pièce de théâtre sur le thème de la violence scolaire, dans le 12e. «C'est cool parce que pendant les vacances, il n'y a pas grand-chose à faire», sourit Karim, 15 ans. «Et puis c'est gratuit, mes parents sont contents», ajoute Katidiatou d'une voix espiègle. «Nous n'avons que quatre centres, qui accueillent en tout entre 150 et 200 enfants, commente Erick Duthoit. Mais la mairie du 15e fait le forcing pour avoir une salle. Et cet été, on accueillera tout le monde à Champigny-sur-Marne.»

Lise Martin, pour 20 Minutes, édition Paris, photo : Paris jeunes

è Seniors et jeunes dans le 10^e arrondissement (préfecture de police)

è 600 000 € de la Ville dans le programme

è Les bilans des deux premières années (2001 et 2002)

Antenne de police fermée dans le 20e

En raison de travaux, le service de l'antenne de police administrative du 20e arrondissement, installée au rez-de-chaussée de la mairie d’arrondissement, sera fermé au public du mardi 21 au vendredi 24 avril inclus.

Le retrait des titres continuera d'être assuré à l'annexe de l'antenne. Pendant cette période, les démarches pourront être effectuées dans les antennes des autres arrondissements, au choix.

L' Antenne de police administrative de la Préfecture de Police (PP, site Internet ICI) se situe dans les locaux de la mairie du 20^e (et souvent à proximité des mairies d’arrondissement). Elle délivre les cartes nationales d'identité, passeports, cartes grises, certificats de non-gage, duplicatas de permis de conduire ou autorisations de sortie de territoire (pour les mineurs).

Pour tout renseignement complémentaire sur la délivrance de documents, composer le 01 58 80 80 80. Pour Info Préfecture, faire le 08 91 01 22 22 (0,225 € la minute).

RIVP : Aidenbaum remplace Castagnou

Une pépinière du 20^e occupée

Le maire fabiusien du 3^e arrondissement Pierre Aidenbaum a succédé ce jeudi à Pierre Castagnou, ancien maire du 14^e,décédé le 24 février, à la présidence de la Régie immobilière de la Ville de Paris (RIVP), a annoncé la régie dans un communiqué. Paris développement, dans le 20^e arrondissement, a été occupé en fin de matinée par des mal-logés en colère. Il s’agit de la pépinière d’entreprises qui héberge Rue89 (lire leur reportage ici).

A la tête de la RIVP, qui se présente comme la première société d'économie mixte locale de France (elle gère 51 000 logements sociaux avec un chiffre d'affaires de 455 M€), un fabiusien en remplace un autre. Né le 3 mai 1942, Pierre Aidenbaum a fondé sa propre entreprise en 1968, puis est devenu conseiller de Paris en 1989, et maire du 3^e arrondissement en 1995. Il a été président de la Ligue contre le racisme et l'antisémitisme (LICRA) de 1992 à 1999. Le maire de Paris, a « fait du logement social la priorité de son mandat, en fixant comme objectif d'atteindre le seuil de 20 % de logement social à la fin de son mandat », indique le communiqué de la RIVP, qui dit devoir en financer 1 400 d'ici la fin de l'année.

Petit imprévu ce jeudi. Le Collectif des mal-logés en colère a occupé en fin de matinée la pépinière d’entreprises de la rue des Haies, dans le 20^e arrondissement. Cette pépinière appartient à la société Lerichemont, dont la RIVP est propriétaire à 99,9 % (voir ici le projet sur le site de la société Lerichemont, là sa présentation par Paris Développement, et par ici une revue de presse actualisée des « bonnes nouvelles »).

A lire la relation des faits par les intéressés, le choix dans la date n’est qu’une coïncidence : ils réclamaient « simplement » de la part du bailleur social qu’il mette à leur disposition « des logements, pas des bureaux ».

Dans le 20^e arrondissement (105 000 électeurs inscrits pour une population estimée à près de 200 000 habitants) cohabitent deux pépinières d’entreprises. L’autre, créée en 1989, est une initiative de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris (CCIP). Paris-Soleillet, comme son nom l’indique, se trouve dans le quartier Ménilmontant-Amandiers, au 14, rue Soleillet.

F. A., photo Mal-logés en colère

è Contrairement à ce qu’indique cette dépêche AFP relayée par France 3 (entre autres) M. Aidenbaum ne fait pas partie de la Commission nationale consultative des Droits de l’homme, indique-t-on à votre ouaibemaître auprès de cette organisme dépendant des services du Premier ministre.

è Le 20e arrondissement en 1999 et en 2006 (Insee)

è La création d’entreprise sur le portail de la Ville de Paris

è Les locaux commerciaux vacants par arrondissement (avril 2009)