Michèle Bernier et Bruno Madinier sont les deux interprètes principaux de « Tombé sur la tête », un téléfilm franco-belge dont le tournage va s’achever la semaine prochaine à Ménilmontant, plus précisément sur le territoire de l’ancienne commune de Belleville, annexée par Paris en 1860.
Le tournage de Tombé sur la
tête a commencé le 18 août, selon Le Film français. Et doit s’achever mardi au pied de l’église Notre-Dame
de la Croix de Ménilmontant, d’après de nombreux affichages dans le quartier à
l’attention des riverains, au nom de la société de production JLA Productions, de Jean-Luc Azoulay, qui prépare ce téléfilm pour TF1. L’histoire se déroule entre
Paris et Bruxelles ; c’est une coproduction franco-belge, incluant Be-Films, JLA et TF1, selon ce qu’indique l’acteur belge Alain Perpète.
Thomas, homme d'affaires arrogant, évolue dans
un univers de luxe et d'apparence, aux antipodes de celui de Mathilde,
femme sensible et peu sûre d'elle. De son VTT il percute violemment le véhicule
qu’elle conduit, en sort indemne, mais a perdu la mémoire et son arrogance.
Mathilde va tout entreprendre pour l'aider à retrouver son identité…
On retrouvera, dans cette comédie de 90 minutes
réalisée par Didier Albert, outre la fille du professeur Choron et l'inusable juge Cordier Francis Perrin, Pierre-Arnaud Juin (notamment connu comme interprète de l’inspecteur Brignac
chez Cordier… justement), Isabelle Fruleux (meilleure comédienne au Festival international du court
métrage d’Abidjan 2006, avec Pour la nuit), Sophie Mounicot, Claude Sesé (acteur AB travaillant beaucoup pour TF1), Stéphane de Groodt (créateur de File dans ta chambre, diffusé en France sur France 2, acteur dans de nombreuses
coproductions franco-belges) ou Alain Perpète.
Les prises de vue en
extérieur sont prévues place Maurice-Chevalier, le mardi 15 septembre, entre 8h et 19 heures. Les
stationnements solicités par JLA Productions auprès de la préfecture de police
et de la mairie de Paris se trouvent rue Julien-Lacroix (du nom d’un propriétaire bellevillois), rue Etienne-Dolet (hérétique et brûlé vif, imprimeur dont on dit qu’il fut à
l’origine du point-virgule), rue d’Eupatoria (souvenir de la guerre de Crimée), rue de La Mare (ancien domicile de Marie Trintignant), et rue de l’Elysée-Ménilmontant (du nom d’un ancien bal).
En clair : la circulation et le stationnement dans cette petite portion de l’arrondissement seront d’autant plus perturbés que le mardi est un jour de marché. « Nous nous sommes engagés auprès de la Mairie de Paris et de la Mairie d’arrondissement à réaliser notre travail dans le plus grand respect de vos activités et de votre qualité de vie », affirment les deux représentants de JLA Productions auteurs des affichettes.
• Reprise (réécriture) le 14 septembre sur le75020.fr
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