Le séisme médiatique provoqué par l'idylle entre Carla Bruni et Nicolas Sarkozy s'est fait sentir à l'Hôtel de Ville, selon Le Perroquet libéré, journal en ligne critiquant ouvertement la politique de Bertrand Delanoë et de son équipe. La nouvelle aurait contrarié Bertrand Delanoë qui « comptait bien afficher celle qui était alors la chanteuse préférée des bobos sur son comité de soutien », indique le journal satirique en date du 9 janvier.
Le Perroquet relève que, lors d'un chat sur le site de la Ville, à une question relative à ses goûts musicaux, le maire de Paris avait répondu : « Par rapport au moral, et pour être énergique, la musique ou l'écrit contribuent beaucoup. Ça peut être la musique classique, ou le dernier disque de Carla Bruni ».
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