A l’occasion de la réouverture du centre IVG de l’hôpital Tenon, deux élues parisiennes, Anne Hidalgo et Fatima Lalem —respectivement première adjointe et adjointe chargée de l’égalité femmes/hommes— rappellent que «l’offre publique de service en matière d’avortement sur l’espace parisien reste largement déficitaire».
Selon ces deux élues, le secteur public de l'orthogénie «risque, en outre, de subir de nouvelles fragilisations notamment à l’issue du transfert programmé du centre IVG de l’Hôpital Saint-Antoine vers l’Hôpital Trousseau sans transfert des moyens nécessaires au bon déroulement de cette pratique».
Dans un communiqué publié hier sur le site de la Ville de Paris (à lire ici), elles indiquent qu’elles «continueront à interpeller les pouvoirs publics pour qu’ils veillent à l’application de la loi sur l’IVG et à se mobiliser aux côtés de toutes celles et ceux qui refusent que l’on remette en cause de quelque manière que ce soit ce droit fondamental chèrement acquis par les femmes.»
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