Quinze mois après la chute du régime de ben Ali, la situation est toujours loin d’être stable en Tunisie, où dimanche 29 avril au soir le bureau du Parti communiste des ouvriers tunisiens (PCOT) à El Kabaria (gouvernorat de Tunis) a été attaqué par une soixantaine de personnes.
Sur MosaïqueFM, le coordinateur général du PCOT Youssef Bel Haj, a indiqué ce lundi matin que certains agresseurs avaient des barbes et que d’autres étaient très jeunes. La porte du bâtiment a été détruite, ainsi que des meubles et un ordinateur.
Sur son blogue, Sameh Bel Hajali relate par le menu l’agression. Elle explique également qu'en arabe, la nuance entre “chiite” et ”communiste” est subtile. Et décrit le climat de tension qui règne autour du Parti communiste, légalisé en mars 2011.
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